La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°719) - Histoires de Sexe

La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°719)

... Enfin si vous êtes d'accord, cher ami ? - Mais je suis tout à fait d'accord, Monsieur Le Préfet ! Vous savez que j'aime partager mes esclaves-soumises. Et celle-ci sera tout à fait heureuse du traitement qu'elle va recevoir ! ajouta Le Maître alors que les menottes m'étaient enlevées. Je me redressais sur le lit en gardant au maximum les yeux baissés. Une fois l'homme installé sur le lit, je m'allongeai sur lui. Je pus observer que sa queue était bien plus longue et d'un diamètre très élevé qu'il m'avait paru pendant qu'elle me possédait la bouche. Alors que je plaçais mes jambes de chaque côté de lui. Je sentis plus que je ne vis sa queue qui rentrait dans mon cul béant. Le Maître s'était installé à genoux entre mes jambes. Je pus le voir pompé son membre viril à quelques reprises avant qu'il ne rentre dans ma chatte d'un seul coup de reins puissant. La sensation des deux bites dans mon corps était tellement bonne ! Me retenir de faire le moindre bruit m'était très difficile. Je me cambrais à chaque coup de queue et un troisième orgasme me submergea telle une décharge électrique irradiant tout mon corps. Un suivant orgasme me prit quasi simultanément aussi à moins que ce soit l'autre qui ne s'arrêtait pas... Mon corps n'était plus qu'orgasmes. Je sentis que l'on tournait mon visage et qu'une grosse verge se présenta à moi. Alors, je pris cette queue raide en bouche et je pompai au maximum cette hampe de chair en creusant mes joues et je jouais avec ma langue sur le contour ...

... du gland. - Cette chienne suce vraiment bien, Monsieur le Marquis ! Avales tout, chienne ! Exigea l'homme en me pinçant un mamelon durement. Le fait d’être prise, baisée en même temps dans mes trois trous, mon corps n'était plus sous mon contrôle et mes orgasmes ne s'arrêtaient plus. Les Dominants continuaient à me besogner ainsi sans ménagement. Leurs éjaculations arrivèrent alors que je finissais de sucer une quatrième queue. J'avalai tout ce que l'on me donnait quand, sans m’octroyer un seul instant de répit, on attrapa ma laisse et me dirigea sur un tapis. - A quatre pattes, le cul cambré, chienne ! exigea un dominant alors que je pus apercevoir Phryné MDE attachée à une croix de Saint-André. Je fis ce que l'on me demandait. Je sentis une queue prendre possession directement de mon cul, j’étais possédée ainsi comme un animal, bestialement, sauvagement pénétrée. L'homme attrapa ma queue de cheval et tira dessus ce qui me fit relever mon visage. Ainsi, alors qu’on me besognait de plus belle, à grands coups de boutoirs, je pus voir arriver vers moi une femme magnifique. Elle s’approcha et caressa mon visage. - Vous partagez cher Ami ? Demanda-t-elle à l'homme qui m'enculait profondément. - Tout à fait, Madame la Comtesse ! Je vis alors la noble femme s'asseoir devant moi. Elle écarta au maximum ses jambes et me présenta une chatte entièrement épilée. Je pus voir aussi qu'elle mouillait énormément. Elle claqua des doigts devant mon visage et je sus ce que je devais faire. Je ...