Un café... crème
Datte: 16/08/2017,
Catégories:
fffh,
Collègues / Travail
strip,
Oral
nopéné,
humour,
... ton calme, mais ferme : — Dites, les filles, ici c’est comme au marché, on peut regarder et toucher, mais on ne goûte pas à la marchandise ! Le ton qu’elle emploie ne permet pas de savoir si c’est du lard ou du cochon et Nathalie et Nicole préfèrent ne pas insister, allant même jusqu’à s’excuser d’être allées trop loin. Mais Joëlle les rassure en leur expliquant simplement qu’en bonne hôtesse de maison, c’est à elle de préparer la crème et elle m’attire alors vers elle. Et c’est une nouvelle surprise pour moi, car la fellation ne fait vraiment pas partie des caresses favorites de Joëlle, en général, elle abandonne au bout de deux minutes, en me précisant que mon petit oiseau, c’est dans son minou qu’elle le préfère. C’est ainsi qu’à part une fois durant notre voyage de noces, c’est à dire il y a un peu plus de six ans, elle ne m’a jamais amené à la jouissance avec sa bouche, mais je ne le lui ai pas demandé non plus, connaissant son peu d’enthousiasme. Je m’étonne d’autant plus que cette fois-ci, cela va se faire devant des témoins et que c’est la première fois que nous partageons ainsi notre intimité, mais aujourd’hui, je ne suis plus à une surprise près. Et voilà donc mon épouse qui, sans la moindre gêne apparente, s’agenouille devant moi, après avoir pris le soin de déposer un coussin sous ses genoux, et m’enserre fortement le sexe à sa base de sa main droite, tout en me caressant les couilles avec la gauche. Par correction, ses collègues restent à bonne distance, mais ne ...
... perdent pas une miette du spectacle. Elles aperçoivent ainsi la langue de Joëlle qui passe lentement sur ses lèvres, avant de venir faire de petits mouvements sur les endroits sensibles de ma verge, en commençant bien évidemment par le gland puis en descendant jusqu’à la base, histoire de léchouiller un peu les bourses puis en remontant à nouveau vers la tête de mon pieu de chair. Après plusieurs va-et-vient qui me paraissent d’une extrême lenteur, les lèvres de Joëlle s’entrouvrent pour aspirer mon sexe et je ressens la chaleur laissée par le café sur sa langue et ses joues. La sensation est extrême, d’autant plus que sa langue roule tout autour du gland, me procurant un plaisir encore plus grand. Je ne sais pas si c’est par défi envers ses copines, ou bien pour me faire découvrir des talents qu’elle m’avait encore cachés, mais j’ai l’impression qu’elle se surpasse et je n’ai jamais ressenti une telle excitation chez elle auparavant, lorsqu’elle accepte de me prendre en bouche. Un tel traitement, ajouté à la présence de ses deux collègues, qui se sont maintenant rapprochées très, très près, ne tarde pas à avoir des effets sur l’impossibilité à me contrôler plus longtemps et j’annonce à Joëlle que je vais partir très vite et je cherche à me retirer, connaissant son dégoût pour le sperme. Et c’est une nouvelle surprise pour moi, puisqu’elle me garde en bouche et prononce une sorte de « Mmmm » dont je ne sais pas s’il correspond à un acquiescement ou bien à de la gourmandise de ...