une histoire 3ème partie
Datte: 23/02/2019,
Catégories:
Gay
Avant la rentrée, je retrouvais Vincent. Nous sommes partis nous promener pour nous raconter nos vacances. La journée était encore bien chaude pour que nous soyons encore habillés d’un t-shirt et short.Je commençais par lui dire qu’avant de partir en Corse, mon père me donna des précisions sur notre séjour. Nous aurions un bungalow dans un camping boisé avec piscine, jeux, la plage accessible directement. Je fus surpris lorsqu’il m’a annoncé que c’était un camping naturiste.- tu t’es mis tout nu devant tout le monde demanda Vincent ?- attends la suite.-Pour me rassurer, mon père me dit que les adolescents pouvaient garder leur maillot s’ils le souhaitaient. Dans mon for intérieur, je pensais que je pourrai assouvir mon fantasme, c’est-à-dire voir le sexe de mon père, et plein de queues.L’avion s’est posé vers 10 heures du matin, le temps de prendre la voiture de location, nous sommes arrivés au camping en fin de matinée. Les véhicules restaient à l’extérieur du domaine. Nos affaires déposées dans notre bungalow composé de deux chambres, l’une avec un grand lit, l’autre, deux petits lits, un salon, petite cuisine, salle de bain avec douche, une terrasse donnant sur une pelouse avec pleins d’arbres, d’autres bungalows, au loin la plage.Les déplacements dans le camping se faisaient à pieds ou à vélos fournis. J’en comptais quatre dans notre bungalow.Une fois installés, mon père proposa d’aller manger au restaurant, nous irions à la plage en fin d’après-midi lorsque le soleil ...
... sera moins haut.Nous sommes revenus du restaurant vers 14 heures 30. J’avais noté que la piscine était assez loin, qu’il faudrait les vélos pour s’y rendre.Vincent était tout ouïe à l’écoute de mon récit.Nous sommes partis à la plage à pied, mon père avait gardé sa serviette autour de sa taille, moi j’avais mis un bermuda.La plage était grande avec du sable blond. Chacun pouvait trouver sa place. Nous nous installions un peu à l’écart. Nos serviettes posées l’un à côté de l’autre, je m’allongeais sur le ventre. Mon père m’enduit le dos de crème solaire qu’il commença à étaler. C’était très agréable, je lui dis :- cela me rappelle lorsque j’étais petit que tu me lavais dans la baignoire, j’adorais.Une fois entièrement enduit, je proposai à mon père de lui en mettre sur le dos.Il s’allongea sur le ventre. Je pouvais voir son dos musclé, ses fesses fermes et légèrement poilues. Je prenais plaisir à le masser.Il me dit :- tu fais ça drôlement bien ! si tu n’es pas gêné, tu veux bien m’en mettre sur les jambes et le torse ?Je continuais sur ses jambes poilues, commençant pas les chevilles en remontant vers les cuisses. Mon père les écarta un peu ce qui me permit de voir ses boules rasées que je frôlais, mais que j’aurais aimé caresser, soupeser, jouer avec. Je craignais sa réaction.Une fois sur le dos, tout en étalant la crème sur son torse orné d’une petite oasis de poils entre ses deux tétons. Mon regard était fixé sur son sexe. Sa verge de taille moyenne, recouverte de son prépuce ...