LA MAMAN DE MICHEL (n°18) - literie - (1)
Datte: 23/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... léchant, la langue à plat le dessous de ma bite insistant sur le frein, hyper sensible. Je pelote ses nichons, parfois en serrant un peu fort sous l’effet de l’excitation. Je regarde ses joues se gonfler et dégonfler au rythme de la pénétration de ma quque dans sa bouche, elle ferme les yeux, apprécie ; elle se délecte de la pipe qu’elle administre à son fils. Elle pose les mains sur es fesses et me suce ainsi en accélérant, je lui baise la bouche, et enfin je jouis. — Ahhhh m’man, je viens, tiens ! Tiens ! Prends tout !! J’éjacule dans sa bouche, elle garde la totalité en déglutissant un première fois, puis une seconde fois ; elle me nettoie ensuite avec la langue qu’elle passe partout, jusqu’aux couilles, c’est fabuleux. Toujours assise sur la cuvette elle se saisit de papier et s’essuie la chatte encore humide, de mouille certainement. Elle se lève et se retourne pour vérifier que nous n’en avons pas mis partout et tire la chasse ; la vue du cul de ma mère ainsi face à moi me refait bander immédiatement. Je pose ma xgxhhns main droite au milieu de ses omoplates et l’incite à se pencher en avant. — Mais qu’est-ce....... — J’ai envie de toi m’man. Elle ferme l’abattant et bras tendus se penche en avant tandis que de ma main gauche je dirige ma bite vers sa chatte. Elle écarte les jambes, ses pieds venant se caler contre les murs latéraux du wc, elle se cambre bien m’offrant son fessier, j’approche mon galnd de sa fente et l’y enfonce doucement. — Hmmmmm ! C’est bon chéri. — ...
... Je vais te la mettre à fond maman. J’enfonce toute ma bite dans sa chatte et la prenant par les hanches je commence à la limer lentement, puis en accélérant. Je me mets sur la pointes des pieds pour la pénétrer bien profond, elle s’appuie maintenant contre le mur face à elle, se penche encorre plus, nous baisons ainsi dans un concert de gémissements. Je suis en train de faire l’amour avec ma mère, c’est incroyable, j’en avais rêvé. Je me penche de temps en temps de côté pour regarder ses gros nichons balloter, et les lui peloter aussi, je m’y agrippe, lui faisant peut-être un peu mal, mais l’excitation est trop forte. Sa chatte est tempée, de la mouille en sort et me coule jusque sur les couilles, sur ses cuisses, c’est épais et gluant, peut-être a-t-elle joui ? — Ah ma salope c’est bon, tu vas me faire jouir. — Jouis Mich’, jouis, gicle-moi dedans, je t’aime. — Je viens, je viens, tiens ouiiiiii ! Je te jute dedans salope ! — Ouiiiiiiii ! Nous jouissons ainsi presque simultanément, je ne me retire pas tout de suite, j’apprécie ce bon moment. Le jus qui coule de la chatte de maman est abondant, il y en a jusqu’au sol. Commençant à débander, je sors ma bite de cette merveilleuse chatte, maman s’assied sur la cuvette, jambes écartées. — Nettoie ma chatte, chéri. Sans hésiter je me remets à genoux et recommence à brouter le minou de maman, c’est poisseux, mais je m’en délecte. Je bouffe avidement la chatte de ma mère. Une fois l’endroit propre, maman reprend ses esprits et nous ...