Marie-Hélène
Datte: 24/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
hdanus,
uro,
scato,
... nous avions repris notre descente vers le petit parking où nous attendait notre voiture, notre chemin a croisé une cascade où Marie-Hélène, s’étant déchaussée, s’est rafraîchi les pieds. Je les ai pris dans mes mains – mes mains fraternelles, oh ! Baudelaire – et les ai longuement baisés puis, avant qu’elle ne se rechausse, les ai essuyés avec une serviette que j’emportais pour notre pique-nique. Elle était assise sur une grosse pierre, le regard levé tendrement vers moi, et ses yeux bleus paraissaient encore plus clairs et lumineux dans son visage tant celui-ci, malgré le produit solaire, en avait pris un sacré coup en cette journée radieuse (voilà ce que c’est que de faire des sottises en plein soleil à plus de 2500 mètres d’altitude…). M’agenouillant devant elle, j’ai pris son visage incendié entre mes mains et baisé longuement et amoureusement sa bouche… Le lecteur s’émerveillera certainement de la belle santé de ces deux jeunes gens lorsqu’il saura qu’arrivés au chalet, et avant même d’avoir pris leur douche, ils se sont allongés nus à même le sol devant la porte-fenêtre du balcon par laquelle entrait le soleil déclinant, pour une nouvelle étreinte amoureuse… Notre nuit fût assez longue, on l’imagine, et j’ajouterai, pour ...
... conclure, que lors de notre réveil du lendemain, le contact tiède du corps de Marie-Hélène avait déjà raidi mon pénis et c’est elle qui, le prenant dans ses mains, l’a accueilli en elle, pour y faire couler ma semence en une libation amoureuse à la journée commençante… Ce récit est terminé. J’ai voulu y montrer, dans cette relation de radieux souvenirs de vacances, comment un couple y avait trouvé l’occasion d’épanouir et d’approfondir encore davantage sa relation sensuelle et amoureuse. Le fait que soient abordés au début certains thèmes qui le sont rarement dans ce site, et généralement sur le ton de la plus franche rigolade, a pu étonner et rebuter certains, et faire craindre un dérapage vers le graveleux. Il ne s’agissait cependant pas de faire « tendance », à l’instar de cette américaine auteur du fameux « Comment chier dans les bois », mais de montrer, avec franchise et sans honte, comment la parfaite entente sensuelle avec sa partenaire impliquait l’acceptation de toutes ses fonctions physiologiques, et comment celles-ci pouvaient contribuer au plaisir érotique. J’ajouterai enfin que ce texte essaye de faire passer un autre thème, qu’on aimerait rencontrer davantage dans les récits publiés sur ce site : celui de la tendresse amoureuse.