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Datte: 25/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme
... demandé si cela me plaisait de m’habiller en femme. Je n’ai pas su quoi répondre mais c’est elle qui a dit qu’elle pourrait très bien faire de moi une belle chienne soumise bonne à donner du plaisir. Elle était là penchée auprès de moi en train de me caresser le sexe et maintenant de me pincer les tétons. Le plus beau c’est qu’elle me faisait un bien monstre et que au rythme où elle allait, elle allait me faire partir dans quelques instants. De temps à autre elle me caressait le visage et les cheveux comme l’aurait fait un homme auprès de sa compagne. En l’espace de moins de 10 minutes elle venait de prendre le dessus sur moi et elle me tenait par mon secret. Elle m’a bien fait comprendre que si je voulais que ma passion pour les vêtements féminins reste entre nous il fallait que je sois gentil et obéissant avec elle. Pendant que Coralie était en train de me dominer j’étais en train de repenser à ces hommes qui m’ont dominé deux heures auparavant. J’étais en train de me dire que j’aimais le sexe féminin et masculin et aussi que j’aimais me soumettre aux hommes comme aux femmes. J’avais tout mon stock de semence dans mes fesses qui était en train de vouloir sortir. Coralie m’a tenté si bien caressé et masturbé que j’ai fini par éjaculer dans mon tanga sous ma robe. Elle venait de me faire jouir alors que j’étais habillé en femme j’étais gêné mais je ne réalisais pas vraiment en même temps. Je savourais surtout le plaisir que je venais de prendre. Quand ma maîtresse a constaté ...
... qu’elle avait les doigts humide et poisseux de ma jouissance elle m’a fait lever puis a pris ma place dans le canapé. Coralie avec une robe longue et légère, elle ne portait ni collant ni bas et elle a bien écarté les jambes. Il ne m’a pas été difficile à comprendre ce que je devais lui faire. Elle m’a attrapé par les cheveux et m’a guidé entre ses jambes de façon ferme et autoritaire. Il va de soi que je n’ai rien dit, j’ai obtempéré et je me suis retrouvé face à son minou sans obstacles car elle ne portait donc pas de culotte. Son minou suintait et brillait de désir et en fait il me faisait envie. C’est ainsi que j’ai déposé ma langue sur sa toison finement taillée et puis je suis ensuite allé découvrir son petit abricot juteux. Vu les commentaires et les soupirs de Coralie j’en ai conclu que je lapais là où il fallait. Ça cyprine avait un goût formidable et du coup je m’en délectais. Mon visage était maintenant couvert de cyprine tant Coralie appuyait sur ma tête pour que je lui donne plus de plaisir. A chaque fois que je croisais ma voisine dans la rue ou dans les escaliers, elle me faisait envie mais connaissant ses penchants; je savais que je n’avais aucune chance. Et pourtant, là, j’étais en train de lui brouter le minou sous sa directive, mais les cartes avaient été redistribuées... Je n’étais pas le mâle qui besognait sa dulcinée mais la fiotte qui était entre les main d’une superbe gougnotte dominatrice. Maintenant j’avais le droit aux pires des surnoms qui soient, ...