Mamie Geneviève (25)
Datte: 16/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... serre la main pour le saluer alors que mon gendre s’empresse de se dénuder, avant se coller à lui pour caresser l’entrejambe de notre hôte. Le beau brun commence à prendre vigueur et sa verge m’impressionne, non par sa longueur, plutôt dans la normale, mais par son diamètre que je remarque sacrément important. Il est bien plus gros que le sexe de mon petit fils pourtant bien gâté par la nature. Michelle me propose une tisane, que j’accepte volontiers en m’asseyant dans le fauteuil qui fait face aux deux hommes. C’est curieux, mais je les trouve beaux tous les deux, je n’aurais jamais pu penser cela auparavant, tant j’étais coincée dans mes préjugés sur l’homosexualité masculine. Tous deux sont totalement épilés, ce qui leur donne un aspect d’éphèbes malgré leur maturité relative. Michelle revient de la cuisine avec deux tasses fumantes et s’assied sur l’accoudoir de mon fauteuil. Elle et moi, sirotons paisiblement notre breuvage en regardant les caresses et baisers échangés par les deux garçons. Je trouve un arrière-goût à ce que j’avale, mais ce n’est pas désagréable pour autant. Alors que je me penche en avant pour reposer ma tasse vide, je sens la main de Michelle glisser sur toute la longueur de mon échine. Quand, surprise, je me tourne vers elle, elle m’adresse un radieux sourire complice. Je la trouve belle et quand elle se penche pour m’embrasser, je la laisse faire. Mieux, je l’attire à moi pour l’enlacer tendrement. Je ne sais pas ce qu’elle a mis dans sa tisane, ...
... mais ça me fait un sacré effet ! Je suis on ne peut plus émoustillée. Sans trop savoir comment, je me retrouve vite avec la poitrine à nu, avec cette femme agenouillée qui tète chacun de mes seins d’une façon si prodigieuse que je me pâme immédiatement. Je m’adosse au fauteuil et m’abandonne, la tête en arrière et les yeux clos. Comment fait-elle pour attiser autant mes sens, on dirait qu’elle anticipe chacun de mes désirs. Je sens de longues bouffées de chaleur m’envahir, surtout quand quelque chose de doux et chaud frotte ma joue. En ouvrant les yeux, je me rends compte que c’est Jacky qui me caresse le visage avec son membre dur. Gilles se tient de l’autre coté du fauteuil et lui aussi me pointe le visage de sa queue raide. Comme une affamée, j’ouvre grand la bouche pour enfourner le gros gland du beau brun et me mets à le sucer avec avidité, voire avec frénésie. Je glisse une main sur les fesses de Gilles, puis sur son ventre, avant de me saisir de sa dureté, que je presse, pétris, caresse et masturbe sans cesser de pomper notre hôte. Je suis aux anges quand la bouche de la femme s’attaque à mon pubis touffu. Tiens, encore une fois je n’ai même pas fait attention qu’elle avait retiré le bas de mes vêtements, sans que je n’en aie conscience, comme si j’étais ailleurs, à planer hors du temps. En cet instant, je me sens flotter dans la béatitude d’un océan de plaisir. La belle peut me gougnotter à loisir, alors que je suce avec avidité son mari, tout en branlant mon gendre. ...