L'amour perdu
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
vacances,
plage,
douche,
amour,
cérébral,
revede,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
pénétratio,
fantastiqu,
... la fit sortir du bain et lui tendit une bouteille. « C’est quoi ? » « C’est du rhum. Papa Legba aime le rhum. Attention, c’est moi qui le fais, et il est un peu fort. » Marie crut s’étouffer après en avoir avalé une lampée. Si ça, c’était du rhum, il ne valait mieux pas passer au whisky ! A moitié brûlée de l’intérieur, Marie tituba et laissa Sarah la guider vers un lit aux draps blancs, entouré de nombreuses chandelles. « On dirait un lit de mort… » Sarah la fit s’allonger. « En effet, mais c’est la meilleure façon de communiquer avec les loas. » Marie avait les yeux embués de larmes et se sentait mal. Tout tournait dans sa tête et c’est à travers une brume dense qu’elle vit la silhouette de Sarah s’en aller. « Je dors à côté, s’il y a le moindre problème. Bonne nuit. » Marie tenta de prononcer un « bonne nuit » qui se noya dans un étrange borborygme. Elle se sentait mal. Il faisait chaud, trop chaud, les chandelles devaient être trop nombreuses. Et puis il y avait ces tambours, aux rythmes si lancinants. Il lui semblait qu’elle pesait une tonne et que sa colonne vertébrale allait céder sous la pression. Et toujours ces tam-tams qui revenaient, frappant dans sa tête. Elle était en sueur. Elle tenta d’appeler Sarah, mais n’émit qu’un râle inaudible. Les tam-tams tapaient de plus en plus fort, Marie tenta de se traîner hors du lit en vain. Les percussions s’intensifièrent encore, et, soudain, disparurent. Pourtant, la chaleur resta. Cette fois, le poids s’intensifia et Marie ...
... sentit son corps s’ouvrir comme une fleur. Une excitation sans précédent s’empara d’elle, plus intense encore que celle qui l’avait saisie dans la chambre à l’hôtel. C’était si fort que Marie ne parvint pas à réfléchir, et elle s’abandonna à l’ivresse de son désir de plaisir. L’une de ses mains s’agrippa férocement à son sein droit, l’autre plongea aussitôt entre ses jambes. Elle y trouva son intimité et le haut de ses cuisses maculées de désir, à un point tel que ce ne pouvait pas être tout à fait naturel. Mais, perdue dans ses désirs de sexe, Marie n’y attacha pas d’importance et plongea dans ses entrailles. Elle ne tarda pas, ivre de joie, à planter deux doigts dans sa fente inondée, à griffer ses seins, à gesticuler de toutes parts à la recherche de l’orgasme qui allait la délivrer de la torture de son corps. Elle entendait à peine le retour des tam-tams mêlé au bruit humide de ses doigts fouillant son intimité, elle ne s’apercevait pas qu’elle criait de plaisir en visitant son petit trou d’un doigt libre et baladeur, elle sentait à peine la douleur liée aux griffures qu’elle se dessinaient sur les aréoles ou sur ses cuisses. Et soudain, son corps explosa de l’intérieur, sa colonne vertébrale se transforma en une barre d’acier et ses cris envahirent la chambre. Un flot de plaisir jaillit sur sa main et son corps secoué de spasme bondit sur les draps. Le souffle coupé, Marie écarquilla les yeux, puis s’écroula comme une masse sur le lit. Il n’y avait plus de tambours, plus ...