1. Le Village en folie (1)


    Datte: 26/02/2019, Catégories: Lesbienne

    Alicia était étendue sur le ventre. Tout son corps fut soudain saisi d’une chair de poule alors que sa nudité l’exposait à l’air frais de la pièce. Complètement paralysée, elle sentait la fine mais vigoureuse main d’Evnika, engloutie dans son derrière irrité, qui amorçait son mouvement de retrait. La sodomisée grimaça légèrement de douleur. Le stress causé par la pourtant lente mais agressive dilatation sphinctérienne de la jeune femme fut si désagréable qu’elle rouvrit les yeux. « Coucou, ma chérie ! Est-ce que je t’ai réveillée, gros minet ? » Sophie se tenait à côté d’Alicia, dans le lit, complètement nue également. Elle tenait fièrement dans sa main un bout de la chaînette reliant les boules anales qu’elles s’étaient mutuellement insérées la veille lors de leurs derniers ébats, les gardant ainsi unies pendant leur nuit de sommeil. Sophie venait d’extraire la sphère de verre de 5cm de diamètre, encore toute chaude des entrailles de sa copine, hors de l’anus de celle-ci, tout en conservant la sienne au plus profond de son intimité de gouine amoureuse. « Oh, Sophie, ma biche ! Ne m’enlève plus jamais ça pendant mon sommeil ! marmonna Alicia, encore à moitié endormie. Tu m’as fait faire un mauvais rêve. — Vraiment ? fit la rouquine, un peu penaude. — Je me croyais dans la salle de torture d’Evnika. Elle achevait de me fister. — Oh ! Pauvre bébé ! Je suis vraiment désolée ! répondit Sophie en remontant les couvertures sur Ali après avoir couvert de baisers ses deux foufounes. ...
    ... — Pourquoi t’as pas attendu que je sois réveillée ? — Je me levais pour aller faire pipi. J’étais pas pour te demander de venir avec moi ! — Mais c’est TA boule qu’il fallait retirer, pas la mienne ! Tu m’aurais laissée dormir tranquille de cette façon ! — Ben, hésita Sophie, je voulais y aller avec ma boule encore dans le cul. J’aime la sensation de pesanteur que ça fait quand je marche avec le poids de ta boule au bout de la petite chaîne. » Sophie présenta à sa conjointe ses plus pitoyables yeux de chatte repentante : « Tu m’en veux pas trop, mon gros minet d’amour ? Je suis tellement accro, tu sais... — Ouais, t’es une vraie salope, une vraie p’tite cochonne, quand tu veux ! fit Alicia en renversant sa Sophie sur le matelas. Et je sais que tu le veux souvent, petite garce ! — Hi hi ! Tu me chatouilles, Ali ! Non, arrête ! Ne tire pas sur ma boule ! Non ! ricanait Sophie, faisant inutilement mine de se défendre. Oh, tu me l’as fait perdre ! J’voulais la garder encore ! Méchante Ali que j’adore ! — Oui ma belle, je t’ai enlevé ta petite bouboule comme punition, et je la remplace par ma langue ! — Tu crois que ce sera une punition pour moi ? se moqua Sophie qui faisait toujours mine de s’opposer à l’agression de son amoureuse. — Si c’est pas une punition, fais au moins semblant de souffrir ! demanda Alicia qui commençait à faire courir son organe lingual autour de la rondelle de sa bien-aimée. — Oh ! Je souffre ! Je souffre (hi hi !). Arrêtez, Madame la tortionnaire ! C’est ...
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