1. La plus belle avenue du monde


    Datte: 26/02/2019, Catégories: fh, fdomine, hdomine,

    ... cadence, la profondeur, la fréquence des coups de boutoir qui suivirent qu’il put jouer pour donner à la dame agenouillée le plaisir second qu’elle attendait, et méritait. Le cri qu’elle produisit avant de s’effondrer sur la table lui fit immodestement penser qu’il avait atteint son objectif. Mais il gardait, pour ce qui le concerne, des ressources et n’avait pas tout donné. Il releva donc sa partenaire qu’il remit à quatre pattes et reprit sa besogne. Il eut bien l’idée, et l’envie, de la retourner et de l’écarter, pour la limer différemment ; de lui lever les jambes, pour la culbuter ; de la prendre sur le côté, pour la pénétrer, voire, tout simplement, de la sodomiser. Mais non ! Il tenait absolument à ce que, pour cette première, la levrette ne soit qu’une levrette. Ni plus, ni moins, mais une levrette des Champs-Élysées. Il y parvint, avec un peu de temps encore, après s’être employé une trentaine de fois à limer sa partenaire. Il aima exploser en elle, qui demandait grâce. Elle eut alors l’extrême savoir-vivre de le nettoyer complètement, quand ils se désemboîtèrent, avant qu’ils descendent l’un et l’autre de cette superbe table. Certes, le sexe de l’homme avait pour l’heure perdu de sa superbe mais elle sut néanmoins, avec sa bouche goulue et précise, le nettoyer dans ses moindres replis. Un dernier baiser, de partage du foutre, clôtura cette belle séquence. — Merci beaucoup, cher Jérôme, pour cette toute première visite de vos superbes locaux, que je trouve tous ...
    ... magnifiques. Dois-je vous dire que ma préférence va pour l’heure à cette dernière pièce visitée, cette pièce du fond, où vous venez manifestement de chercher au fond de vous-même ce qu’il fallait d’énergie pour venir au fond de moi-même. Il apprécia ce compliment à sa juste valeur et comprit qu’elle reprenait rapidement ses esprits. Ils revinrent alors dans le bureau de Jérôme. Il remit son slip tandis qu’elle ne restait vêtue que de ses escarpins. — Reprenons donc un petit café, lui proposa-t-il. Ils se dirigèrent ensemble, dans cet équipage, vers la kitchenette du milieu du couloir pour refaire du café. Revenus dans le bureau de Jérôme, celui-ci lui demanda de bien vouloir faire le service, ce qu’elle accepta bien volontiers,à charge de revanche, pensa-t-elle bien entendu. Il était pour ce qui le concerne assis dans un confortable fauteuil et aimait voir cette belle femme, nue, perchée sur ses talons hauts et élégants, seins libres, déambuler dans cette pièce où il passait tant de moments de sa vie. — Quand vous aurez fini votre café, Hélène, vous viendrez s’il vous plaît me présenter votre cul.— Mon cul sera à vous, Jérôme, avec plaisir et attente, comme d’ailleurs vous serez vous-même tout entier à moi cet après-midi. Dernière gorgée avalée et soucoupe reposée, Hélène vint se placer debout devant Jérôme assis dans un grand fauteuil. Elle se retourna, se pencha, écarta un peu les jambes et attendit. Le spectacle était magnifique et en tout point conforme à ce que celui-ci ...