1. Enfin offerte (1)


    Datte: 26/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... qu’un grand porte manteau et une banquette ainsi qu’un grand bac contenant déjà deux parapluies. Ils te suivent et l’homme passe devant et ouvre une porte, tu entres en passant devant lui, la pièce est très claire car il y a au fond une grande baie vitrée qui donne sur le jardin arrière de la maison , aussi bien tenu que l’autre . En passant devant lui, tu devines son regard appuyé qui passe de ton décolleté à ton petit fessier qu’on devine bien moulé sous ton imperméable. La pièce est accueillante, très beau parquet au sol, les murs sont tendus de toile de Jouy sobre et claire, meublée en ancien mais les teintes sont claires, chaudes et accueillantes. L’homme se présente, je suis Henri, débarrassez vous, il t’aide galamment à enlever ton imperméable et semble apprécier ( je le comprends) ce qu’il découvre en dessous, il est vrai que tu es sexy et désirable dans ta tenue élégante et très féminine. Il pose nos manteaux dans l’entrée et nous dit de nous installer dans le canapé qui nous tend les bras, un magnifique canapé en cuir fauve, cossu et à l’air confortable. Tu t’assois et es un peu surprise de sa profondeur, tu pars en arrière et ne peut t’empêcher un petit cri, du coup ta jupe remonte très haut sur tes cuisses et tu t’empresses de la rabaisser sur tes genoux d’un geste très féminin, mais tu as bien senti le regard de l’homme qui a plonge entre tes cuisses lourd et intéressé, et malgré toi ce regard te rend toute chose, tu sens déjà l’envie chez lui et tu comprends ...
    ... qu’il s’est arrangé à se trouver en face de toi juste quand tu allais t’assoir, il doit avoir l’habitude de ce genre de réaction. Je m’assois a tes cotes en faisant attention de ne pas me faire piéger comme toi mais il faut dire qu’une fois dedans on a vraiment envie de se laisser aller. L’homme s’assoit, en face de nous, il y a deux fauteuils, très profonds aussi du même modèle que le canapé et tu es juste séparée de lui par une superbe table en verre et bois très basse sur laquelle repose un plateau en ébène et quatre coupe de très belle facture, tout ici respire le luxe et le raffinement. La table arrive en dessous de tes genoux et les regards de l’homme semblent assez souvent attirés par tes jambes que tu a croisées avec élégance et féminité, la finesse de tes chevilles encore plus relevée par tes hauts escarpins. A peine quelques banalités échangées, une porte s’ouvre et apparait un autre homme un peu dans le même genre, peut être un peu plus grand, assez mince mais qui émane une sorte de puissance tranquille, lui aussi grisonnant et vêtu en tenue de campagne très classe, veste en loden et pantalon de velours, très gentleman farmer , il porte un seau à champagne et une bouteille en dépasse. Henri nous dit, ha voila Jean avec le champagne ; il pose le seau et te serre la main doucement presque une caresse en te disant de ne pas te lever, ce qui t’arrange car tu ne vois pas comment tu pourrais le faire sans offrir un spectacle sur tes cuisses et ton petit string. Apres avoir ...
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