1. L'hésitation


    Datte: 26/02/2019, Catégories: fh, hplusag, extracon, grossexe, volupté, pénétratio,

    ... s’approcha de moi. Je voyais que le spectacle avait fait son petit effet sur le sexe du grand noir. Sans aller au maximum, il semblait déjà être plus consistant que lorsque je suis entrée. Il se planta devant moi et sans un geste de trop, de la façon la plus neutre qui soit, il saisit l’un des anneaux et dévissa la fermeture. Puis il me saisit le sein dans sa large paume, l’engloutissant presque, alors même que je n’étais pas la plus mal lotie, et de l’autre, il fit tourner l’arceau dans le trou pour le dégager de mon téton, involontairement dressé. Il posa l’anneau sur la table puis recommença avec le deuxième. Ensuite, il me prit l’annulaire gauche et retira mon alliance. Ce dernier geste me débarrassa de mes derniers scrupules : il me sembla que je n’étais plus lié à mon mari jusqu’à ce que je le remette. Il collecta les bijoux puis se dirigea vers la porte lorsque je le retins par le bras : — Attends … Ce n’est pas fini …— Quoi ?— Un dernier… Je décroisai complètement ma serviette puis écartai mes cuisses : l’anneau qui me traversait le clitoris s’offrait à son tour au regard de plus en plus émerveillé de François. L’anneau semblait entreposé dans le coffret à bijoux que constituaient mes grandes lèvres glabres, ouvertes et détendues par la chaleur ambiante, trempées par la transpiration comme si une excitation sournoise les avait mises dans cet état. François, avec un sourire, le premier que je lui vis avoir de la soirée, saisit délicatement de l’index et du pouce, mon ...
    ... minuscule pain de sucre boursouflé pour l’étirer légèrement et de l’autre main, il dévissa à son tour l’anneau pour le faire glisser et le retirer. — J’adorerai te les remettre tout à l’heure Flo. Cette fois, François était en érection maximale et ce que je vis était monstrueux et merveilleux : Quasiment trente centimètres d’ébène noir jais et circoncis, épais et strié de veines, qui battait au rythme de son cœur. Mais il se retint, tournant le dos pour aller déposer mes bijoux à l’extérieur. Je refermai et renouai ma serviette et me rallongea sur le ventre. Les yeux fermés, j’entendis François revenir et me caresser furtivement les fesses rebondies avant de retourner s’allonger à son tour sur sa table. Je somnolais au fur et à mesure des minutes qui passèrent. Puis, je fus réveillée par François qui me souleva de la table et, me portant dans ses bras et les miens entourant son cou, nous sortîmes de la cabine de sauna. Je jetais un coup d’œil au grand miroir du mur d’en face. Je vis l’immense corps noir et brillant de sueur de François qui culminait à deux mètres porter à bout bras mon minuscule corps à la couleur neigeuse, drapé dans sa serviette comme un petit chien. François me déposa sur une grande table de massage que j’avais aperçu en entrant à l’aller. Il retira avec des gestes neutres ma serviette détrempée dénudant mon corps offert, du cou jusqu’aux chevilles. Il m’installa confortablement le visage dans le dossier de la table, percé en son centre pour laisser mon ...
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