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Anne chez le dentiste
Datte: 26/02/2019, Catégories: f, fh, Collègues / Travail médical, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral 69, pénétratio, fdanus, occasion, f+medical,
... passent mais tous ne sont pas d’un érotisme torride. Surtout quand il faut soigner les dents de personnes âgées ou de patients dont l’haleine ferait fuir un fennec. Ce jeudi en fin de matinée, j’ai en consultation une jeune fille qui vient pour la deuxième fois. Elle s’appelle Anne. Je vais la chercher dans la salle d’attente. Elle est assise au fond et est en train de lire une revue. Quand je l’interpelle, elle décroise lentement ses jambes pour se lever et mon regard plonge rapidement sur ses cuisses dévoilées. Elle a vu mon regard coquin et me fait un large sourire en entrant dans le cabinet. Je l’invite à s’asseoir sur le siège. Tout en préparant mon matériel je l’observe : elle ne doit avoir guère plus de trente ans. Elle est très belle avec des cheveux bruns, longs et légèrement bouclés. Ses lèvres sont charnues et très sensuelles. Elle porte un chemisier blanc avec un décolleté vertigineux qui laisse entrevoir le galbe supérieur de ses seins que je devine légèrement plus petits que ceux de Sylvia… Sa minijupe a glissé vers le haut quand elle s’est assise mais elle n’a pas fait le moindre geste pour la remettre en place, me dévoilant ainsi ses jambes jusqu’à mi-cuisse. Je commence les soins car je dois traiter une petite carie. Un peu tendue et crispée, elle serre fortement ses bras le long de son corps et ce geste a pour effet d’entrebâiller encore plus son chemisier. Pour mieux introduire la roulette dans sa bouche je me penche derrière elle mais je m’arrête car ...
... j’ai une vue plongeante sur son décolleté et je m’aperçois qu’elle a les seins nus. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je regarde ses tétons rosés et même ses mamelons un peu larges. Après le flash de ses cuisses dans la salle d’attente me voici en train de découvrir une autre partie se son corps. C’est la première fois que mon métier me donne l’opportunité de profiter d’un tel spectacle. Je prends mon temps et Anne s’aperçoit que je suis en train de la mater. Elle ferme les yeux comme si elle aussi éprouvait du plaisir à s’exhiber. Je suis tellement troublé par cette vue que je laisse tomber sur elle une petite pince qui glisse sous son chemisier. — Vous pouvez la récupérer seul, me dit-elle. Après une telle proposition, mes mains tremblantes se posent délicatement sur son cou puis glissent dans son décolleté. Je récupère l’objet du délit mais je ne peux m’en tenir à cette petite incursion dans son corsage ! Mes mains s’égarent sur ses seins dont j’éprouve la moiteur et la chaleur. Entre mes doigts, je fais rouler ses tétons que je sens durcir. Comme un fou, inconscient de ses gestes, je pose mes lèvres sur sa bouche et je l’embrasse avec fougue. Elle donne de l’ardeur à ce baiser car sa langue titille mes dents et ma langue. Je sens sa respiration s’accélérer. Elle remonte les jambes le longs du fauteuil, dévoilant complètement ses cuisses superbes et fines. J’abandonne ses seins et sa bouche, me plaçant au bout du fauteuil pour admirer ce nouveau cadeau qui m’est offert. Je ...