1. COLLECTION LESBIENNES. Ma nouvelle belle-mère (1/1)


    Datte: 27/02/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... de ton papa et je me retrouve là à te raconter ma triste vie. Elle tombe en pleurs, c’est moi qui réduis la distance, la prenant dans mes bras sa tête sir mon épaule. • Ne pleure pas, Florence, merci de tes confidences, tu me montres une marque de respect qui me va doit au cœur. Elle redouble de pleures. • Je t’ai menti dans mon récit, alors que je m’étais promis de tous te dire, j’ai rencontré Ludo avant de rencontrer ton père, il est bien mort en braquant une banque, mais à Rome. Cela faisait presque un an que je l’avais suivi en Italie et j’ai fait volontairement la pute pour lui, tu as raison, ton père n’est pas informé de l’étape de ma vie, je suis donc une salope. Va lui dire et tu seras débarrassée de moi, ce secret me pesait et je suis fière de te l’avoir dit. Ses larmes redoublent, elle relève la tête et je suis à deux doigts de l’embrasser, un baiser d’amante pas de camarades, j’ai un élan pour cette jeune femme, ma belle-mère qui me fait confiance. C’est de façon plus sereine que la vie reprend entre nous trois, chaque fois que je rentre, elle me prend dans ses bras et je sens ses seins sur mes seins qui sont très beaux. • Caroline, j’aimerais te coiffer, ta tête m’inspire, j’aime mon métier d’avocat, mais j’aime faire plaisir à mes amies. Je me retrouve dans la pièce qu’elle s’est aménagée et où elle coupe les cheveux de papa qui est son premier client. Ces mains virevoltant sur ma tête, changeant mon look, faisant de moi une femme presque fatale. Elle m’emmène ...
    ... dans sa chambre et souhaite une touche finale en me faisant essayer des vêtements plus sexy, ses vêtements et c’est pour la remercier de faire de moi une vraie femme que je me retrouve dans ses bras, nos bouches jointent. J’avais mis mes affaires, c’est dans ma chambre que je l’entraîne rouler sur mon lit, sa main me caresse les seins et je ressens la douceur sur son contact. Quand ses doigts entrent dans mon vagin vierge, je n’ai aucune appréhension, même quand j’ai une petite douleur au moment où elle éclate mon hymen. Êtres, dépucelé par sa belle-mère à vingt ans, peu de filles ne doivent pas réaliser cette prouesse, je le fais. Elle me montre tellement de faciliter à me faire faire des pratiques qui font partie du monde des femmes que j’ai des doutes sur ce qu’elle m’a dit concernant ses rapports avec la directrice du foyer où elle avait été placée. Je prends conscience que si je suis vierge à mon âge, c’est que les sexes des hommes me laissent indifférent et que le sexe de Florence est celui que j’attendais. Je sais, il y a papa, je refuse qu’elle envisage de le quitter, d’ailleurs elle se garde bien de lui en parler, son cœur s’il apprenait risquant de flancher, jusqu’au jour où pendant que je suis dans ses bras, elle m’annonce que je vais avoir un petit frère. Je pourrais prendre ombrage, mais je n’ai pas le temps de cogiter, quant au repas du soir, elle l’annonce à papa en ayant préparé un tête-à-tête et que je suis dans ma chambre pour les laisser à leur bonheur, ...