1. Vacances, sexe et exhib. (5)


    Datte: 28/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... profonde » de tout à l’heure. OK. Avec ça, je suis vachement avancée ! « Large et profonde » ? Mouais, je n’ai rien compris. Il faut le sucer ? Je suce. J’aime son sexe dans ma bouche. Je lèche son gland avec délicatesse et gourmandise comme si je mangeais une glace ; j’adore les glaces. Moi, dressée sur mes jambes, courbée en deux pour sucer Pat, j’ai le cul en l’air. Je suis toujours occupée à pomper ; je rentre son vit de plus en plus loin dans ma gorge au risque de me donner envie de vomir. Tout à coup je sens deux mains se poser sur mes hanches et un truc glisser en moi. Mes lèvres s’écartent et l’engin glisse en moi doucement ; plus il avance, plus je le sens gros. Je commence à respirer de plus en plus fort ; mon vagin me pique. Le truc force d’un coup sec et pénètre encore. Sous l’impulsion, tout mon corps avance, et la bite de Pat pénètre le fond de la gorge ; je manque de m’étouffer. Je râle, je bave… Je viens de comprendre la signification de « profonde ». Mon vagin vient lui aussi de comprendre l’adjectif « large » : les filles sont en train de m’écarteler. Je n’ai encore jamais accouché, mais c’est terrible comme sensation : j’ai l’impression de m’ouvrir en deux. Je sens monter en moi un puissant orgasme mais j’arrive à le maîtriser, et maintenant c’est dans mon anus que quelque chose pénètre ! Pareil : je suis écartelée, j’ai mal au cul, au vagin, la bouche pleine et la gorge défoncée par la bite de Pat qui gonfle. Il se tend ; je suis sûre qu’il ne va pas ...
    ... tarder à éjaculer. Les filles font des mouvements de va-et-vient en enfonçant de plus en plus profondément en moi leurs trucs (je soupçonne que ce sont des godes). Elles vont de plus en plus loin et de plus en plus vite, et maintenant il y a d’énormes vibrations en moi. Pat éjacule dans ma gorge ; mon vagin et mon anus se contractent avec force, bloquant le mouvement des godes. Je râle tout ce que je peux, me dégage de Pat, mes mains sur ses hanches et je crie, secouée par cet orgasme qui n’en finit pas ; il est d’une puissance extrême. Les mouvements de va-et-vient reprennent vite, très vite. Je m’accroche à Pat car un autre orgasme arrive, aussi puissant que le premier. Il me fait me tordre dans tous les sens, c’est terrible, terriblement bon ! Je remercie cette histoire de cette Dame Erika, ce plaisir fou que me procure mon statut d’esclave ou de jouet, c’est comme ils veulent. Pour le moment, c’est moi la Dame. C’est fini ; mon supplice est terminé. Je dois leur raconter pendant le repas tout ce que j’ai ressenti, et je ne peux manger que d’une main car je dois me caresser pour garder mon excitation en éveil permanent, m’ont-ils dit, et ça marche : plus je raconte, plus je me caresse, et plus je suis excitée ! Après le repas, je dois débarrasser la table, faire le café et apporter les digestifs pendant qu’ils discutent. Durant tout ce temps je dois les sucer, les lécher et les pomper à tour de rôle. Cette situation est jouissive au plus haut point ; moi qui voulais vivre des ...