Autour de la piscine
Datte: 28/02/2019,
Catégories:
fhh,
vacances,
piscine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... accroître ses sensations. Jusqu’à ces derniers jours, le sexe mâle qui coulissait en elle n’existait que par le plaisir qu’il lui prodiguait et par les jouissances qu’il déclenchait. Depuis que Jean a ajouté aux sensations habituelles les émotions supplémentaires engendrées par la vue réaliste de leurs jeux sexuels, elle pressent que l’image de la virilité et du calibre d’un sexe mâle va intervenir comme un intensificateur de ses plaisirs et aussi comme un activateur de ses orgasmes, et dès qu’elle a pu la première fois apprécier le gabarit du phallus de Clément, elle n’a cessé de penser à cet instant où, face au miroir, elle le verrait forcer son intimité. Elle reste dressée sur ses genoux, regardant avec avidité le gland qu’elle garde emprisonné entre les lèvres de son sexe. Lentement, elle fléchit ses genoux, entamant une lente et profonde pénétration. Elle ressent un plaisir insolite et nouveau de voir son ventre avaler cette chair rigide, douce et chaude. Son vagin absorbe le gland. Elle s’arrête et s’appuie sur les hanches de Clément pour l’immobiliser. Elle veut que le rythme et la profondeur de la pénétration soient imposés par elle seule et non par les ruades impatientes de son amant. Elle veut goûter la volupté de sentir son vagin caressé millimètre par millimètre. Et c’est de la même façon, par petites impulsions, qu’elle oblige la tige turgescente à s’enfoncer en elle. Surtout, elle voit dans le miroir sa chatte écartelée par la queue qui lui semble avoir encore ...
... grossi. Elle voit aussi son corps caressé par les mains de son amant qui lui pétrit les seins et caresse sa vulve ouverte et ruisselante. Elle n’imaginait pas que la simple image de son corps uni à celui de Clément conduirait à un bouleversement de ses sens d’une telle intensité. Elle continue de s’affaisser sur son amant, émerveillée de voir le membre s’enfoncer en elle comme si son sexe avait la capacité d’être rempli par un phallus encore plus volumineux que celui de Clément. Elle ne peut plus prononcer la moindre parole. Elle n’a pas eu besoin de demander à Jean qui la regarde passionnément de poser ses mains sur son corps et de joindre ses caresses à celles de Clément. Elle sait qu’elle ne pourra résister aux premiers spasmes de l’orgasme qui va la dévaster, mais elle tente de le retarder pour coulisser sur le pieu de Clément le plus longtemps possible. Elle veut le faire jouir, elle, de sa propre volonté, quand elle le désirera, sachant que la défaite de la volonté de son amant sera suivie immédiatement de la sienne et la plongera sans retour dans un abîme de plaisir. Elle varie le rythme de ses mouvements pour amener Clément à la cime de son désir. Dressée au maximum sur ses genoux au-dessus de son amant, elle réalise que sa queue a atteint une telle taille qu’elle reste emprisonnée entre les lèvres de son sexe et qu’elle occupe tout l’espace de l’écartement de ses cuisses, sans que filtre le moindre rai de lumière à travers l’encastrement de leurs chairs. Son corps, ...