1. Mon statut de cocu soumis


    Datte: 28/02/2019, Catégories: Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    Ma femme Nadia n’a jamais été folle de sexe, mais elle fait encore tourner quelques têtes avec sa poitrine généreuse et son joli petit cul.Il faut savoir qu’un caractère de soumis sommeillait en moi. J’ai toujours préféré lui administrer un cunnilingus plutôt que la pénétrer. J’hume régulièrement ses petites culottes sales, je me branlais, subissant ses moqueries lorsqu’elle refusait mes avances, et sur un plan domestique, c’est clairement elle qui porte la culotte.Avec les années, nos relations intimes s’étaient réduites à 3 ou 4 fois par an (eh oui !). Je dis « s’étaient » car depuis deux ans, plus rien. Il faut dire qu’avec mon petit zizi de 8 x 3 en pleine érection (enfin, si on peut appeler ceci érection !) je ne l’ai jamais fait grimper au rideau. Et ces deux dernières années, je n’ai plus qu’un truc mou qui s’élève à peine. Pire, comme j’ai maintenant quelques fuites urinaires, mon caleçon propre du matin pue régulièrement la pisse en fin de journée. Avec son odorat sensible, elle ne manque pas de me le faire remarquer : « Je m’emmerde avec toi, tu pues ! ». Une fois, en présence d’une de ses amies intimes, elle a même ajouté « et ce n’est pas tout ! » avec un petit signe du doigt qui a très bien été interprété. A une autre occasion, alors que sa bonne lui demandait s’il fallait changer le drap de mon lit vu la tâche sans équivoque, elle répondit « inutile, c’est mon mari qui nettoiera sa pisse ».Dernièrement, un événement complètement inattendu a tout fait basculer. ...
    ... Membre d’une association de bénévoles actifs en Afrique de l’Ouest, elle a voyagé 2 semaines à 2 reprises dans cette zone. Elle en est revenue transformée, et c’est peu dire ! Lors d’une dispute pour un motif futile, elle a explosé. « Je m’emmerde vraiment avec toi, tu pues, tu pisses dans ta culotte, t’es qu’un impuissant avec ta bite de sous membré ! Sache que désormais, tu es cocu, grâce à quelques blacks membrés et endurants comme de vrais mecs, qui m’ont prise par mes trois trous, comme une chienne certes, mais bon sang que c’était bon ! ». Le choc ! Je suis resté comme un con, tétanisé. Sonné, j’ai alors ajouté ce que je n’aurais peut-être jamais du dire : « Tu as raison chérie, je suis un porc qui ne bande plus. Je te prie de me pardonner ». Et là, je ne sais si tous les cocus l’ont ressenti, une sorte de vague excitation agréable me gagnait en parallèle au sentiment que ma bite rétrécissait encore plus ! Est-ce le signe du cocu heureux ?Certainement surprise par cette réaction, elle saisit la balle au rebond : « L’association cherche un logement pour l’un d’eux qui vient un mois en cours de perfectionnement professionnel, tu vas proposer qu’il vienne chez nous ! ». « Oui mon amour » fut ma réponse.La semaine suivante, j’ai bien tenté de réagir, mais c’est elle qui assure l’essentiel de notre train de vie et à mon âge, je n’ai ni fortune ni aucune autre perspective. Donc, ma misérable stratégie se résuma à subir ce statut de cocu heureux telle une drogue et absolument ...
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