1. Traitement et guérison


    Datte: 28/02/2019, Catégories: fhhh, inconnu, parking, boitenuit, voiture, fsoumise, facial, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, jouet, sm, donjon, attache, piquepince, méthode, confession,

    ... La jupe. Le porte-jarretelles. Les bas. Tout se retrouve au sol. Pendant ce temps, ils se sont rapprochés, formant un cercle, si près que maintenant ils me touchent comme pour se persuader que je ne suis pas un mirage, poupée de leur fantasme. Six ; oui, tous les six sont là. Heureuse d’avoir éveillé leur libido, mais inquiète de ces six hommes qu’il faudra satisfaire d’une façon ou d’une autre, je tourne pour que chacun puisse profiter. Mais oui : profiter. N’y voyez aucune vanité. Non seulement le plaisir, la satisfaction de m’offrir et d’être appréciée à ma juste valeur. Mais oui : appréciée. Pas comme tous mes copains qui m’ont laissée, ne cherchant pas à libérer de sa chrysalide le papillon que mon Maître offre à ces hommes. Ils touchent, caressent, jouent avec mes piercings. Une, deux, quatre, dix, mille mains me caressent et se battent pour se glisser en moi. Je m’agenouille. Les zips s’ouvrent, les boutons sautent, les pantalons tombent sur les chevilles. Je ne suis plus qu’une bouche qui happe le sexe encore mou du retraité fatigué ou qui découvre la belle queue noire raide d’envie. Deux mains. Je n’ai que deux mains pour assister ce que mes lèvres ne peuvent satisfaire. Parfaits échantillonnages des sexes masculins : courts, longs, fins, larges, complètement découverts, comme celui d’Abdou. Je dois me contrôler. Ne pas me laisser entraîner dans ce racisme primaire, coupable, que des organisations dénoncent. Surtout ne pas faire sentir que la queue d’Abdou ...
    ... m’attire. Pensez… Une queue noire préférée aux queues blanches : voilà le vrai racisme, celui que les organisations gouvernementales dénoncent, la supériorité de la race. Blanche ? Vous avez dit blanche ? Mais non : noire ! Je ne sais plus. Une queue est une queue ! Celle de Gégé n’est pas mal non plus. Courte, noueuse, dure comme du béton. Je ne suis qu’une chose qu’ils utilisent. Mais c’est si bon de se laisser faire… Plus d’initiative. Plus de choix difficile. C’est Gégé qui mène la danse. Un homme s’assied sur le billard. On m’amène à lui, me pousse pour que je le suce alors qu’un autre m’enfile, glissant au plus profond de mon intimité largement offerte. On appuie sur ma tête pour forcer ma gorge. Des mains claquent mes fesses, pressent mes seins, poussent des doigts dans mon anus. Ils parlent entre eux. Ils me parlent. Mélange de mots crus et de compliments. Ma dextérité les enchante. Ma disponibilité les flatte. Si je suis si chaude, si humide, si ouverte à leurs possessions… Ce ne peut être que parce qu’ils sont des hommes, des vrais ! Pas comme mon mari, qu’ils imaginent vieux, impuissant et incapable de me satisfaire. La première giclée me surprend. Celui que je suce éjacule sur mon visage avec un râle d’agonisant. Encore un qui en rêvait depuis longtemps, mais que sa femme ou ses partenaires refusaient. Avec la bourgeoise, on peut tout se permettre. Il est aussitôt remplacé. Nouveau sexe. Nouveau goût. Nouvelle forme. Je m’applique. Celui qui me possède jouit. Je sens ses ...
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