Traitement et guérison
Datte: 28/02/2019,
Catégories:
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Partouze / Groupe
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... subissent plus de tension vers le haut, force qui nous maintenait en équilibre, précaire, mais assez stable. Maintenant, comme on dit des enfants qui marchent pour la première fois, c’estChâteau Branlant. Nous ne tenons que par la force des muscles de nos cuisses. J’ai beau chercher le piège, je ne trouve pas. Que peuvent-ils attendre de cette association, si ce n’est voir laquelle des deux va céder la première ? C’est une position très vite épuisante. Avez-vous déjà essayé, dos au mur, jambes fléchies, de tenir le plus longtemps possible ? Très vite les cuisses tétanisent. À ce petit jeu, je suis assez forte. Mon métier m’astreint à une gymnastique régulière. Je suis sûre de gagner. Myriam ne peut rivaliser. Déjà, je sens qu’elle faiblit. Mais elle m’entraîne avec elle. Nous ne sommes qu’une seule entité. Ma force ne peut compenser sa faiblesse. Doucement, irrésistiblement, nous descendons. Je sens déjà le sol sous mes fesses. Le sol ? Mais ce n’est pas possible : nous en sommes encore loin. Mais alors, qu’est-ce ? D’un seul coup, je comprends. Oh, Pierre… Ton idole doit être fière de toi ! Même lui, n’aurait pas pu imaginer pareil stratagème, pareil supplice : lier deux femmes, lier deux destins pour montrer que le maillon le plus faible entraîne l’autre. Machiavel et Sade se complètent. Je sais ce qui nous attend. Déjà, je sens l’objet aux bornes de ma chatte. Résister ? À quoi bon… Si, juste ce qu’il faut pour que la descente soit assez douce, la pénétration régulière, ...
... l’envahissement progressif. Progressif ? Peut-être, mais quel morceau ! Juste quelques millimètres, et déjà je suis dilatée par l’objet. Miriam faiblit et m’entraîne malgré mes efforts. Nouvelle pression. Oh, les sadiques ! Ils méritent leur nom. Ma moitié avait-elle imaginé ce jeu, ou est-il sorti de l’imagination fertile de mon Maître ? Un deuxième mandrin frappe à la porte, la porte du cul. Il est si bien placé qu’une petite main doit veiller à la bonne position. Mes efforts ne font que retarder le moment fatidique. Déjà, mon anus a été forcé, sans grande difficulté je dois dire, remerciant un instant la mansuétude de nos bourreaux qui ont dû lubrifier les godes à foison. Miriam abandonne d’un seul coup, m’entraînant dans sa chute. Une fraction de seconde, j’ai la vision d’horreur des suppliciées empalées à mort. Un cri. Moi ou Myriam ? Les deux, peut-être… Mais heureusement, la chute n’est que de quelques millimètres avant que nos fesses arrivent au contact d’un tissu amortisseur. Soulagée, c’est vrai ; mais maintenant, les deux godes sont enfoncés jusqu’à la garde. Je prends conscience de ce qui m’a envahie par le con et par le cul. Impossible de l’oublier. Je suis rivée au sol. Si je voulais bouger, je ne pourrais pas. Encore moins parce que ma moitié est dans la même situation. Nous voilà soudées l’une à l’autre, empalées par des bâtons de plastique. On me retire mon bandeau. Nos bourreaux sont là, bien sûr, sourire aux lèvres. Ils consultent le planning diabolique que ...