1. Je ne vous l'ai jamais dit ?


    Datte: 28/02/2019, Catégories: h, fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail fépilée, vacances, hotel, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourpass,

    ... contre sa cuisse, et ma bouche me rapprochait peu à peu de ses lèvres. Aussi soudainement que je lui avais bondi dessus, elle m’envoya une gifle magistrale qui me paralysa d’un coup et lui permit de sortir rapidement de la pièce. Cette gifle eut le don de me remettre les idées en place et la climatisation ne fut pas nécessaire pour faire redescendre ma température interne en flèche. J’étais aussi rouge de honte que la marque laissée par sa main sur ma joue. Mais qu’avais-je fait ? Qu’est-ce qui m’avait pris ? Moi, naturellement si peu entreprenant. Qu’est-ce qui m’était passé par la tête ? Je m’étais trop fait de films avec ses douces attentions. Et en l’espace de quelques secondes, j’avais tout gâché. Ce jour-là, je ne m’étais pas éternisé au bureau. Prétextant une faiblesse passagère, je rentrai chez moi sans demander mon reste, craignant pour mon avenir. Mais qu’allait-elle faire ? Pouvait-on m’accuser de violeur ? Je n’eus pas le courage de retourner travailler cette semaine-là. Je n’arrivais plus à trouver le sommeil. Je me fis porter pâle, ce qui ne fut pas trop difficile au vu de l’état de fatigue avancé dans lequel j’étais. Au fil des jours, somnifère aidant, sans autres nouvelles du bureau que mon chef qui me harcelait de messages pour savoir quand je reviendrais, mon sentiment de culpabilité s’estompa. Je me dis que ce n’était finalement pas si grave, et je revins prendre mon poste. Mon chef me remit tout de suite dans le bain. J’avais accumulé tellement de ...
    ... retard que je n’eus pas le temps de réfléchir à mon geste. Les journées passèrent vite, je ne pris même plus le temps de prendre de pauses-café avec Isabelle. Elle me le reprocha un peu, mais heureusement, nous prenions encore nos repas ensemble. Quant à Sabine, j’ignorais si c’était parce que j’étais rarement présent dans mon bureau à cause de ma surcharge de travail ou parce qu’elle m’en voulait, mais je ne l’avais pas revue depuis cet événement. Pourtant elle était là, sa voiture sur le parking en témoignait. D’un autre côté, je me satisfaisais de cette situation car si personne ne m’en avait parlé, c’est qu’elle n’avait rien dit. Qu’est-ce que cela voulait dire ? Était-elle trop choquée ? Ou passait-elle l’éponge ? N’ayant pas eu l’occasion de m’excuser, je ne savais pas à quoi m’en tenir. Je finis par avoir la réponse rapidement. Cela commença au self, un midi, pendant que j’attendais que l’on me serve mon plat. Je sentis une personne passer derrière moi, très proche de moi, tellement proche que lorsque Sabine se pencha entre moi et Isabelle pour voir quelles étaient les entrées du jour, je sentis son sein se presser contre mon bras. Je n’osai plus bouger, je me délectai de ce doux contact sans savoir s’il était intentionnel. Puis, une main se posa dans le creux de mon dos, provoquant en moi une onde de chaleur indescriptible. Trop rapidement à mon goût, elle se retira et retourna prendre sa place dans la file d’attente, je tournai la tête dans sa direction mais elle ne me ...
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