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Je ne vous l'ai jamais dit ?
Datte: 28/02/2019, Catégories: h, fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail fépilée, vacances, hotel, amour, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, confession, amourpass,
... Sabine se confondit en excuses. Par pur réflexe, je pris soin d’effacer toutes traces de mon passage sous son bureau pendant que je maintenais la pression sur mon cuir chevelu qui ne cessait de saigner. Sabine réussit à me convaincre de m’emmener aux urgences pour me faire recoudre. Elle se sentait gênée de s’être emportée même si je n’arrêtai de lui dire que ce n’était pas grave. Arrivé à l’hôpital, je l’obligeai à rentrer chez elle pour ne pas la mettre dans une situation délicate. Elle m’embrassa voluptueusement et me promit qu’elle ferait tout pour se faire pardonner. Je sortis de la voiture et lui fis signe de la main tout en me dirigeant vers les urgences alors qu’elle redémarrait sa voiture. +++OOO+++ Je ne vous l’ai jamais dit ? J’aime les rousses. Mes rencontres avec ces femmes laissent toujours des traces. Après le cœur brisé, c’est mon crâne qui en a pris un coup : cinq points de suture. Et l’obligation de trouver une histoire crédible pour les expliquer. Avec Carole la briseuse de cœur et Sabine la briseuse de crâne, il ne me reste plus qu’Isabelle et son amour platonique. J’étais bien avec elle, nous n’étions pas avares de tendresse et de mains baladeuses mais le manque d’instant charnel ne risquait-il pas de condamner cette belle relation ? +++OOO+++ Bien entendu, je ne parlai pas à Isabelle de l’épisode sous le bureau de Sabine. Comment l’aurais-je pu ? Moi-même, je n’étais pas bien sûr de ce qu’il s’était passé. Et si en voulant se défendre contre mes ...
... tentatives désespérées, Sabine m’avait déséquilibré au point de me fendre le crâne ? N’avais-je pas déjà tenté de la coincer ? Et que dans la perte de connaissance qui aurait suivi, j’aurais tout imaginé ? C’est fou ce que la perte de repères peut être perturbante. Mais, lorsque Sabine arriva ce lundi dans mon bureau, resplendissante dans sa jolie robe d’été au décolleté révélateur, la lumière du soleil traversant le hublot du bureau voisin accentuant la rousseur de ses cheveux, j’en étais subjugué. La vision de cette femme entre deux âges, bien en formes, me figea. Elle s’avança vers moi et se pencha pour me saluer alors que je n’avais pas esquissé le moindre geste, m’offrant ainsi une vue plongeante sur ses seins admirablement enveloppés dans un dessous en dentelle noire exquis. Nous nous fîmes la bise de manière la plus professionnelle possible si ce n’était sa main qui avait plongé directement entre mes jambes et malaxait mon engin à travers le tissu. Non. Je n’avais donc pas rêvé. D’autant qu’elle me glissa dans l’oreille de l’attendre ce soir avant de partir. Jamais une journée de travail ne me parut aussi longue. Surtout que je n’avais toujours pas de nouvelles de sa part. Finalement, vers 20 h, mon téléphone retentit. La première sonnerie n’était pas encore terminée que j’avais le combiné collé à mon oreille. Et dans les secondes qui suivirent, je me précipitai vers son bureau à travers les couloirs vides. À peine avais-je refermé la porte derrière moi qu’elle se jeta sur ...