1. L'étudiante sodomisée. (1)


    Datte: 01/03/2019, Catégories: Hétéro

    ... ses impressions car décidée à bien m’imprégner de tout ce que le corps d’un mâle en rut peut donner. Quand, enfin, je refermai mes bras autour de son tronc large et chaud et que je commençai à gémir, il accéléra. Nos voix se confondaient dans le même émerveillement, dans la même extase, en communion. Nous répétions sans cesse la même chose : — C’est bon, c’est le pied, super, grandiose... elle est bonne ta queue, elle est bonne ta chatte... Il se redressa sur ses bras pour me limer à fond. Je l’encourageai. Il décida cependant de ralentir le rythme et devint presque inerte bougeant légèrement son corps pour que la pine, en moi s’agite légèrement. Il glissa sur mon côté pour dégager un sein qu’il saisit à m’en faire mal. — Pourquoi tu voulais que je me rase les couilles ? Susurra-t-il tout en continuant à se mouvoir imperceptiblement. — Pourquoi tu veux que je m’épile la teucha ? — Non, pas épilée... peut-être un peu moins fournie... — Moi je trouve que tes poils sur les boules ça m’empêche de bien en profiter. J’en ai plein dans la bouche après. J’suis sûre que si tes roustons étaient plus lisses, on en profiterait mieux tous les deux. — Tu as peut-être raison... j’y penserai... — Ça veut dire que tu veux recommencer ? — Recommencer ? Si seulement ça pouvait durer toute la vie. J’suis bien là. J’ai jamais été aussi bien. Putain que c’est bon. C’est encore mieux que ce que je pensai, 200 000 fois mieux... Ô ma cousine, ma cousine... ton corps, ton corps... tes seins, tes ...
    ... mains, ta bouche, ton cul, tes jambes, ton sexe... hmmm... Et il se remit à l’ouvrage en se mettant quasi à genoux et en m’attirant à lui en me saisissant par le pli des cuisses. Cela lui permettait, tout en continuant de me piner, de me pétrir les seins. — Tes seins, tes seins, tes tétons durs... c’est génial... Puis il s’étendit à nouveau totalement sur moi et reprit son bourrage en règle. Ses chocs se répercutaient dans tout mon être et, à chaque fois que sa queue tapait au fond, je lâchais un cri de bonheur. Il se retira. — Mets-toi à quatre pattes ! Je lui obéis sans discuter et il me prit par-derrière. — Rahhh. C’est bon, c’est super... c’est encore meilleur que ce que je pensais. — Pareil pour moi. Enfonce, enfonce, vas-y... Plus vite. J’eus un orgasme... le premier provoqué par un homme en moi. Je ne pus me maintenir sur mes bras. Je m’écroulai mais il me maintint la croupe en l’air en me tenant fermement par les hanches. Mon orgasme le libéra. Il sortit d’un coup, voulut se rallonger sur moi mais je le lui interdis. — Non, j’veux voir ce que ça fait quand le sperme sort. Il était temps. Il se mit au-dessus de ma poitrine et je vis les jets fuser rapidement et je sentis la lourde et chaude averse tomber sur mes seins. Ce fut bref mais ce geyser blanc s’élevant dans les airs pour retomber lourdement me captiva. La puissance du tri diminua rapidement et les dernières giclées sortirent sans puissance en recouvrant le gland et la main droite qui allait et venait. Quand tout ...
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