1. Découverte (2ème partie)


    Datte: 01/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... pas? aboyais-je.-Non, gémit-elle.-Très bien, alors tu vas enlever ta robe, tu vas te mettre à genoux, et tu vas me sucer la queue, puisque tu m'as dit que tu faisait ça sans problème. Allez, vite!Elle s'éxécuta, quitta sa robe, se mit à genoux. Nue, elle avait un corps magnifique, des gros seins, un peu potelée, peut-être, mais cela lui allait très bien. Elle me faisait penser à une Pornstar anglaise que j'aimais beaucoup, Alicia Rhodes. J'ai enlevé mon T-shirt, débouclé ma ceinture, déboutonné mon jean, baissé mon boxer et lui ai présenté ma tige, qu'elle avait fait durcir.-Montres-moi ce que tu sais faire!Elle goba ma queue sans problème (je n'ai pas non plus le calibre Rocco MaxiPlus, mais je n'ai jamais eu de plainte non plus!). Elle commença à me sucer tout doucement, c'était un délice. Dés le début, je compris que j'aurais une élève surdouée. Mais il ne fallait pas que je lui fasse croire ça tout de suite, c'est pourquoi, alors que je vivais un moment de délices fantastique, je m'efforçais de la bousculer, de la brutaliser, de l'invectiver:-Putain, t'es vraiment une chienne, t'aimes ça la bite, salope! Je vais t'apprendre la baise, moi, je vais te dresser en vraie petite chienne docile. Tu vas devenir ma pute perso, je te filerais à mes potes, je t'enverrais sur des chantiers, dans des foyers. Tu seras fouettée, fistée, sodomisée à la chaine, je vais te faire gang-banguée, te faire tourner dans les caves de cité...Je ne sais pas si c'était les mots exacts, en tout cas ...
    ... ça ressemblait à ça! Et, pendant ce temps-là, je m'efforçais de ne pas jouir tout de suite car elle me pompait comme une roi. A un moment, je lui prit la tête entre mes deux mains, je la regardais droit dans les yeux, et je lui dis:-Si tu veux rester avec moi, je ferais de toi une princesse de plumard.Et je lui assénais une grosse gifle, avant de lui cracher en plein visage. Elle gémit un "oh", qui me fit comprendre qu'elle adorait vraiment être traitée de cette manière, que ce n'était pas une posture, qu'elle prenait vraiment son pied. Et elle me réenfourna sans rien dire, continuant à m'astiquer la bite comme elle savait si bien le faire. Le traitement dura encore quelques minutes, et puis, que voulez-vous, la nature est faible, et n'en pouvant plus, je lui retirais son jouet de la bouche, me masturbais sur son visage quelques secondes, et je lui envoyais un gros jet épais en plein visage, dans la bouche, les cheveux. Je crus que jamais je ne m'arrêterais de l'arroser. J'aurais voulu lui parler, lui dire des "prends ça dans la gueule, salope", 'v'là ta récompense, p'tite pute", impossible d'articuler quelque chose d'humain, ce n'était que des "Argggh", des "Brrrr!" et des halètements de locomotive à vapeur en bout de course. Je ne pus que retourner m'asseoir sur la banquette, le boxer et le jean sur les chevilles. Elle vint alors gentiment vers moi, à quatre pattes, se lova contre mes jambes, assise par terre, glissa sa main dans l'intérieur de mes cuisses et posa sa tête ...