1. L'anniversaire de Samuel


    Datte: 01/03/2019, Catégories: fh, ff, hh, ffh, fbi, hbi, jeunes, couleurs, asie, inconnu, copains, grossexe, grosseins, fête, anniversai, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, BDSM / Fétichisme Transexuels intermast, Oral pénétratio, hdanus, hsodo,

    ... fait des petits bisous, le lèche un peu, en suçote le bout, joue avec de sa langue. Quand vous avez des gros seins, comme moi, il est difficile de savoir à quel moment celui qui s’en sert les aime, et à quel moment il s’en sert pour son propre compte… si je me fais bien comprendre ? Eux, ceux à qui je les prête en ce moment, les aiment, ça ne fait aucun doute ! Jamais plus je ne laisserai un garçon glisser sa bite entre eux ! Peut-être le ferai-je, moi… si le garçon que je veux exciter le mérite… Je le ferai pour Luc ! Parce que je l’aime ce bonhomme. Je désespère de le sentir en moi ! Parce que lui, je sais que jamais il ne me dira : "Fais-moi une branlette espagnole !" Je me sers de ses doigts pour me pincer le téton jusqu’à la douleur, et j’en gémis pour attirer son attention. Il me regarde et je lâche sa main, comme pour lui dire qu’il peut faire de moi ce qu’il veut. Il me sourit, garde mon sein dans sa main, se penche, lentement, en me disant qu’il le veut avec la flamme qui brille dans ses yeux. Je la lui donne et il la prend. Ma bouche, il l’aime comme j’attendais de lui qu’il le fasse. Je l’entends gémir, loin, au fond de mon cœur. Mes yeux fermés s’humectent. Je gémis aussi. Nous n’en sommes qu’à la phase effleurement, et déjà, ma chatte s’ouvre, palpite, coule de lui. Oh oui, il va me tuer d’amour. Je le sais… déjà ! Loin, loin de moi, à des années-lumière, j’entends gémir une fille. Je crois que Kiko jouit des baisers de Jennifer. Elle le fait en gardant mon sein ...
    ... dans sa bouche. J’entends aussi la femme que j’aime aspirer son jus, la lécher encore, pour prolonger son extase. Je caresse sa joue de ma main maintenant libre, comme pour lui dire que je suis là, même si je ne suis qu’au baiser qui change… et change encore, un peu plus tard. Je change moi aussi : mes yeux pleurent du trop d’amour que me donne Luc. Des doigts s’incrustent dans mes cheveux, mais je les sens à peine. Une paume caresse ma tête, ma nuque, mais je n’en ai cure. Je crie maintenant, pas trop fort, mais je sens qu’ça vient ! Ça arrive alors qu’il lèche mes lèvres, fuit ma langue et la cherche, en même temps. Comment fait-il pour avoir la langue aussi sèche, aussi râpeuse, alors que moi, j’en bave, j’en salive de vouloir garder la sienne ? Ça n’a pas d’importance parce qu’une fournaise envahit mon corps, prend possession de lui, et m’emporte là où seule ma chérie m’avait emmenée jusqu’alors. Oh oui, elle avait raison ! Quand il aime quelqu’un, il n’a pas besoin de mot pour le lui dire ! Je ne sens pas vraiment l’abandon de sa bouche, tandis que mes cris s’estompent, mais j’entends, un peu, une voix de femme me dire qu’elle est heureuse, qu’elle savait que son chéri finirait par m’aimer aussi. Qu’elle est encore plus heureuse du fait qu’elle n’a pas eu à le lui demander, pour qu’il me le montre. Des bras m’enveloppent et me bercent, tandis que des lèvres baisent mon front, mes joues en une éternité de douceur. J’ai à peine conscience qu’elle me murmure, rien que pour ...
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