L'anniversaire de Samuel
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
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pénétratio,
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... telle tendresse que je me sens fondre instantanément. Elle n’entraîne pas ma langue dans une sarabande, mais la caresse de la sienne lentement, l’effleure, joue avec au chat et à la souris. Pour la première fois de ma vie, je suis embrassée par une femme, et c’est si moelleux, si doux, que j’en sens monter des larmes à mes yeux. Oh, je ne doute pas un seul instant qu’elle m’aime, maintenant… qu’elle n’attendait que cette occasion de me montrer son envie de moi. Elle provoque des gémissements en moi, leur répond des siens. Là, à genoux en face de moi, avec une grande délicatesse, elle colle son corps au mien, m’enveloppe de ses bras, affronte sa poitrine menue à mes seins plus ronds. L’une de ses mains me maintient la tête, caresse mes cheveux, ma nuque, tandis que l’autre passe dans un effleurement, de mon dos au creux de mes reins, puis au haut de mes fesses, et enfin à leur bas. Je crie légèrement, maintenant, et je la sens trembler contre moi. Sans que je ne ressente quoi que ce soit, elle m’allonge sur ce tapis qui a si souvent accueilli mes pas. Ses lèvres contre les miennes, elle me murmure : — Tu veux bien m’attendre un tout p’tit peu ? Je lui souris et elle me répond de la même façon, essuie mes joues humides de larmes de bonheur, d’une caresse, puis me fait une bise légère sur ma bouche entrouverte, haletante. Je la vois maintenant grimper le long du corps de l’homme que j’aime, lui faire la même bise, après quelques secondes qu’elle a passées à l’observer. … SAMUEL ...
... : Un peu interloqué, je vois Jennifer monter jusqu’à moi. À califourchon, les mains posées sur mes épaules, elle me demande, de ses yeux humides, de la laisser faire. Comment voulez-vous que je lui refuse quoi que ce soit ? Je les lui donne, et elle leur fait une bise légère, tiède, puis me murmure : — Tu me la prêtes ? Je ne l’ai pas empêchée de me la prendre, tout à l’heure, alors pourquoi maintenant ? Sans attendre de réponse, puisqu’il n’en est nul besoin, elle continue, sur le même ton confident : — Luc a deux-trois choses à te dire… Je crois que toi aussi… Et ce soir, on a tous les droits… Tu veux les entendre, n’est-ce pas… Ça non plus, ce n’est pas vraiment une question. Je donne toutefois une réponse, mais à lui. Il me comprend, quitte sa station d’attente, après un sourire ému, un peu apeuré, et me rejoint comme l’a fait Jennifer quand elle s’est approchée de nous. Sans vraiment d’instant d’hésitation, il grimpe jusqu’à moi, et dans le même mouvement, prend les lèvres que je lui offre. Un poids s’ôte de mes cuisses, tout de suite remplacé par un autre. Le dur de son érection, à travers son caleçon, se frotte au mien. Des bras virils entourent ma tête, mais sans aucune force. Ce n’est pas non plus un baiser fougueux qu’il m’offre, et je comprends qu’il va m’apprendre sa façon d’embrasser sans passer par l’amour de ma vie. Pour apprendre, je dois "garder les pieds sur terre", mais très vite, il me fait pleurer, moi aussi. Mes bras pèsent du plomb, et c’est à peine si ...