L'anniversaire de Samuel
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
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... l’intérieur de moi ? Je la repousse pas très gentiment, mais sa voix est douce, pas outrée le moins du monde : — Qu’est-c’qui s’passe, mon ange ? Et moi, j’peux pas parler. J’ai peur. Elle le voit, et me montre ce qui me fait cette angoisse, en s’agenouillant entre mes cuisses. Je suis trop interloquée. Elle s’en rend compte, et enchaîne de la même voix, pas vexée, précautionneuse : — Je comprends, mon ange… c’est la première fois… Tu veux te garder pour quelqu’un d’autre… J’ai envie de lui crier : "Non NON !" Mais je ne le peux pas ! Et quand je me rends compte qu’elle va m’abandonner… peut-être me murmurer que ce n’est pas grave, j’éclate en sanglots, parce que c’est trop tard : je l’aime cette… ce… oh, et puis j’m’en fous ! Elle aime pas me voir pleurer : ça rend ses yeux tout tristes aussi. Elle redescend du canapé, et sa main caresse ma joue. Toute à l’attention de me rassurer, elle me murmure : — Ne t’inquiète pas… je ne le ferai pas… J’éclate en sanglots hystériques parce que je le veux maintenant, même si je n’arrive pas à le lui dire. Ça ramène Jennifer vers nous. — Qu’est-ce qui s’passe, demande-t-elle. Mon nouvel amour tourne la tête dans sa direction, va pour lui parler, mais je ne lui en laisse pas le temps. Je retourne sa tête vers moi. Je vais lui dire. Je le lui dis, pendant que des larmes coulent sur ses joues : — Non… non… viens… Fais de moi une femme… Je t’aime, ma Stévie… Silencieusement, pleurant toujours, elle glisse son regard dans le mien. Je n’ai ...
... plus peur. Je l’aime et je la veux. Elle voit tout ça, me sourit séchant ses larmes, mais me demande quand même : — T’es sûre ? Je la supplie du regard, en hochant la tête, puis attire sa bouche, qu’elle me donne. Elle m’a comprise, reprend sa place entre mes cuisses. — Tu m’feras pas mal, hein…— N’aie pas peur… je serai douce…— J’ai plus peur… Aime-moi… maint’nant… Plus personne ne pleure. À vrai dire, il n’y a plus aucun bruit que nos respirations un peu… rapides, à toutes les deux. Jennifer, je m’en rends compte, tout à coup, est venue près de ma tête, caresse ma joue en me souriant, comme pour me rassurer encore. Est-ce que je l’aime, elle aussi ? Est-c’que moi aussi, je me glisse dans leur communauté d’amour ? J’en ai bien l’impression ! Je le lui demande d’un regard, et elle me l’offre, toujours caressant ma joue. Stéviana n’est pas loin, et elle en veut aussi, alors je passe de l’une à l’autre. Une légère brûlure, quelque chose d’infinitésimal se fait sentir, mais c’est si noyé dans la douceur, que ce n’est pas désagréable. De temps en temps, nos trois langues jouent ensemble. Toutes, on gémit, mais je crie un peu quand le lent va-et-vient s’accélère, ondule en moi. Je l’accompagne, en un geste instinctif, le fais entrer plus profond en moi. Je grogne aussi, parce que le plaisir augmente graduellement. Par paliers, l’orgasme monte, grimpe, gonfle. Il me prend à contre-pied, tandis que je le sentais refluer. Il explose en moi, me rendant folle, de surprise, d’extase, ...