L'éveil d'Adeline - Première partie
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
amour,
fsoumise,
hdomine,
... accompagner et amplifier ma caresse. À chacun de ses mouvements, ses muscles fessiers se contractaient et son anus clignait. Ses grandes lèvres s’écartaient autour de ma queue et Adeline se plaquait contre moi afin de ressentir au mieux cette présence masculine. Lors de nos mouvements, mes bourses frottaient contre les plis de son sexe et son clitoris engorgé, déclenchant des gémissements hâtifs. Perdu dans la contemplation de ce spectacle, je fus surpris de sentir une main se poser sous mes bourses. Adeline, appuyée d’une main sur la table basse, s’était saisie aveuglément de mon sac et le pesait, le caressait. Sachant que la position de ma compagne depuis le début de notre petit jeu devait être de plus en plus difficile à tenir, je la saisis par les hanches et la fis pivoter pour la placer face au sofa. En la guidant, elle positionna ses genoux sur l’assise et ses bras croisés au sommet du dossier. En appuyant au bas de son dos, je la fis se cambrer, la rendant de nouveau totalement offerte à mon regard. Sa poitrine était écrasée contre le dossier du canapé et je voyais déborder légèrement ses seins, toujours maintenus par son soutien-gorge, de chaque côté de son dos. Adeline, toujours aveugle et silencieuse depuis le début de notre jeu érotique, posa sa tête sur ses bras et attendit que je la prenne. N’y tenant plus, je ne la fis pas attendre. Après avoir fait glisser le bout de mon sexe à trois reprises contre son vagin ouvert, je m’insérai en elle d’un puissant coup de ...
... reins. Adeline sursauta et projeta sa tête en arrière, cambrée autant qu’elle pouvait l’être. Je la saisis alors par les hanches et, pour mon propre plaisir, commençai un rapide va-et-vient. Tout au long de mon assaut, le claquement de ses fesses contre mes hanches était hypnotique. La pâleur de sa peau avait laissé place à une rougeur particulièrement marquée à l’endroit où nos corps se heurtaient. Adeline, la bouche ouverte et la tête toujours projetée en arrière, gémissait à chaque coup de boutoir. Ne pouvant maintenir le rythme indéfiniment, je ralentis la cadence jusqu’à me maintenir enfoncé au plus profond. Me collant à elle, je lui pris le visage d’une main et nous nous embrassâmes passionnément. Adeline ondulait, empalée sur ma virilité, dardant sa langue amoureusement. Dans ce moment de passion intense, je sentais qu’elle était entièrement mienne. Je repris l’assaut de ses reins, la tenant par les cuisses au niveau de l’aine et cherchant à entrer toujours au plus profond de son corps. Adeline ne retenait plus son plaisir, et ses gémissements se changeaient en râle ininterrompu. La sueur perlait sur son dos pendant je la malmenais. Adeline haletait, tremblait et vibrait sous mes coups. Je sentis soudain la pression de son vagin augmenter et venir à bout de ma détermination alors que son sexe se contractait, me serrait, inondé par la vague d’un violent orgasme. Après un dernier coup de hanches, nous nous arrêtâmes subitement de bouger, la respiration coupée, savourant ...