Les aventures sexuelles débridées de Patrick, Christine la belle-maman. (2)
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
Hétéro
... sourd à mes suppliques et accélère le rythme. Il s’arrange à chaque pénétration pour que sa hampe frotte contre mon clitoris si sensible multipliant les sensations. — Oooohhhh ooouuuiii…Patrick... Mais ce n’est pas une bite que t’as, ton pieu me défonce si bien! Ma matrice est pleine de ton bélier… c’est incroyable comme je le sens en moi! Whaaaa… que c’est booooonnnnn ! AAAHHH putain…. Je me vide de nouveau en hurlant avant de partir dans les vaps. Mes yeux se révulsent dans leur orbite et je m’affale sur le lit. Cet homme a uns science de l’amour extraordinaire. J’ai disjoncté pendant quelques secondes et reprends doucement mes esprits, haletant comme un petit chien. Je ne suis plus qu’orgasme, ma chatte est devenue si sensible, mes muscles intimes, pris de convulsions, se contractent si fort que sa grosse férule est presque immobilisée dans ma matrice. — OH MON DIEU, JE JOUIIIIIIISSSS, OH MON DIEU, ça recommence, ça n’arrête plus! Ouuuiiiiiiiiiii ! Oh putain, oui, oui, OOOUUUIII! Oh Patrick…putain de queutard, oui continue encore! Putain de forniqueur, tu vas me faire mouriiiiirr! Whaaaooouuu Je jouiiiiissssss encooooore! Il essaie de retirer sa pine prisonnière de mon tabernacle mais il doit attendre que mes muscles se relâchent pour pouvoir échapper de ma chatte en feu qui retient prisonnière sa queue. Je râle, j’ai la respiration haletante, mon corps ne me répond plus tellement je l’ai sollicité. — Oh mon Dieu, arrête ! Ma chatte ne peut plus supporter ta bite! Oh ...
... s’il te plaît Patrick ! Mais il n’en a cure, il me tire vers le bord du lit. Il me prend dans ses bras puissants par la taille et se redresse. Une fois mon corps collé contre le sien, il monte mon cul en l’air et progressivement renfonce son engin à la verticale jusqu’à la garde dans ma chatte béante. Je suis exsangue et râle doucement sous les coups de boutoir de Patrick. Je m’emporte. — Oh Patrick je t’en supplie, je n’en peux plus. Arrête! Je t’en prie! Mais ce fabuleux chibre lime toujours dans ma chatte dégoulinante de cyprine. — Tu sauras à l’avenir qu’il ne faut pas me défier. Mes muscles vaginaux recommencent à se tétaniser sur son rostre et le traient comme le pis d’une vache. Je hurle de nouveau : — Oh mon Dieu ! Je jouis encore! Oh merde c’est pas Dieu possible…Vas-y! Prends-moi! Ouiiiiiiiiii… Il se vide enfin de sa lave blanche dans ma matrice, je le remercie, émerveillée de ce qu’il arrive encore à produire depuis le début de nos agapes sexuelles: - Ooouuuiii… Donne-moi tout ! Remplis-moi comme une outre. OOOhhhh tu me remplis la chatte! Aaaaaaaahhhhhhh… Mon vagin continue de traire sa teub qui déverse sa semence. — Oh mon Dieu mon gendre adoré, comment peux-tu tenir si longtemps? Ooouuuiii… Continue de me donner ton foutre! Il me soulève une fois la source tarit, je frôle de mes doigts mon clitoris dur comme du fer et ce simple attouchement sur mon bourgeon gonflé déclenche une nouvelle houle. — Sainte marie ! C’est devenu si sensible que je jouis rien que de le ...