1. Gougnote dominatrice (1)


    Datte: 02/03/2019, Catégories: Lesbienne

    ... plus beau c’est que le soir même elles avaient réussi à se retrouver, chez elle ce coup-ci, et qu’elle avait fait plus ample connaissance. J’ai eu le droit à des détails qui me gênait un peu pour les raisons que vous imaginez. C’est ainsi qu’elle m’a expliqué comment alors que Marie était assise dans son canapé elle lui avait pris la main pour la poser sur sa cuisse à elle. Marie s’était laisser faire comme si elle avait été hypnotisée, ce sont ses termes. Dès le premier jour Sophie avait réussi à embrasser notre comptable. Pour éviter d’attirer l’attention je ne demandais pas plus de détails car, de toute façon Sophie m’en donnait sans que je lui en demande. Quelques jours après Sophie est revenue se confier en m’informant de l’évolution de la relation. C’est ainsi que j’ai appris qu’elle adorait Marie parce que cette dernière avec un côté soumise qui lui plaisait beaucoup. Elle m’a avoué qu’elle l’avait revue de nouveau chez elle et que à nouveau elles s’étaient embrassées. Là par contre elle avait été un peu plus entreprenante en caressant le corps de Marie dans ses moindres détails exceptée son intimité. J’étais un peu sidéré de savoir que mon amie d’enfance se laissait à ce point faire par une autre femme. Un jour toujours en salle des profs Sophie m’a demandé si cela m’excitait d’entendre tous les détails qu’elle me donnait. La question m’a laissé sans voix, du coup après un silence, je lui ai répondu que ses récits ne me laissaient pas indifférent. Heureusement que ...
    ... nous n’étions que tous les deux dans la salle quand elle me parlait de ça. Quand je la voyais, Sophie, dans la salle je l’aurais volontiers allongée sur une table pour m’occuper d’elle. Même si je la savais Gougnotte, le fait de la voir me faisait quand même un peu bander de désir. Je me demande si avec ce genre de questions elle ne savait pas qu’elle me faisait bander, avec le recul plus j’y pense et je me dis elle savait l’effet qu’elle me faisait. Au bout d’un mois les choses se sont un peu précipitées en ce sens où Sophie est venue me voir pour me dire qu’elle avait passé le weekend au lit avec mon amie d’enfance. Pourquoi me racontait-elle tout ça; pour me rendre jaloux, pour m’exciter, toujours est-il qu’elle prenait grand plaisir à me donner toujours plein de détails. Ce jour-là j’ai eu le droit au détail sur l’anatomie de notre comptable, j’ai ainsi appris que Marie avait une toison pubienne très entretenue, qu’elle avait des seins très sensibles et surtout qu’elle était très sensible à ses coups de langue. J’ai appris aussi que Marie criait très fort quand elle prenait son pied et surtout, chose peu banale, qu’elle suçait son pouce après avoir joui. Avec de tels détails, voilà quelques temps que je ne regardais plus mon amie d’enfance de la même façon. Il m’arrivait parfois de me demander si elle était au courant que je connaissais Marie depuis très longtemps. Dans ce cas cela aurait été une provocation monstrueuse. Les jours allant j’avais toujours plus de détails ...