Branle sous la douche
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
hh,
hbi,
jeunes,
copains,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
init,
... pulpeux, et très gonflé. Avec les mouvements de va-et-vient, je commençais à mieux évaluer sa taille. En fait, sa bite était un peu plus courte que la mienne, mais par contre, plus épaisse c’était indéniable. Je l’avais mieux en main, et cette pensée me fit bander encore de plus belle. Je le branlai et le branlai encore, comme si c’était moi que j’astiquais. Avec ma main gauche, je parcourais son torse et je sentais que chaque mouvement sur sa verge le rapprochait de la jouissance absolue. Je me mis à lui caresser les couilles, si bien pendues, rasées, et je jouais avec ses testicules en les faisant rouler doucement. J’avais l’impression que malgré notre branlette dans le salon, il allait encore m’étonner. — Branle-moi bien David… je vais jouir… je sens trop que ça monte.. continue et fais-moi gicler à mort…— Qu’est ce que t’es bien monté, Jérôme… J’adore comme tu es raide… Tu aimes ça quand je te malaxe les couilles ?— Fais-moi éjaculer.. Continue… marmonna Jérôme. Ses paroles m’excitaient de plus belle. L’eau et le savon faisaient un excellent lubrifiant. Je me concentrais sur son gland. J’essayais le plus possible de faire jouer la paume de ma main autour de la cime de sa pine dont la peau si lisse, si tendue était des plus sensibles (c’était aussi comme ça que j’avais mes meilleurs orgasmes). — Ta queue est trop belle… Jérôme.. Je vois de la mouille qui commence à sortir de ton zob… Tes couilles vont se vider. Je veux voir ce que tu as dans les burnes… Montre moi comme ...
... tu peux éjaculer fort… Je veux que ton sperme gicle comme un geyser… Tu as encore plein de foutre, hein ? Je m’étonnais moi-même de mes paroles. Il y avait encore deux heures, jamais nous n’aurions parlé si librement. C’était libératoire pour moi, mes pensées se mêlaient à mes propres fantasmes. J’essayais de savourer chaque instant : je branlais un autre mec et je voulais que son plaisir soit à la hauteur du mien. — Je vais jouir… déclara-t-il soudain… (Je sentais sa respiration s’accélérer de plus en plus)… oh, oui… je vais venir… Je sentis ses couilles qui se rétractaient, un frisson le parcourut jusqu’à la pointe de ses seins et d’un seul coup, son pieu devint encore plus dur. Je n’eus pas le temps de faire un nouveau mouvement de va-et-vient qu’un violent jet de sperme gicla de sa pine. Alors que je continuais à la branler, Jérôme poussa un profond « Ouiiiiiiii… hannnnn….. » et 5 ou 6 nouvelles giclées jaillirent. J’avais plaqué ma main gauche tout le long de ses abdos et je pouvais ressentir chaque tressautement qui l’animait, au moment de son éjaculation si forte. Il m’accompagna de sa main gauche, comme s’il voulait se finir. Ainsi, sa main sur la mienne, nous n’arrêtions pas le mouvement de branle qui lui provoquait un plaisir si intense. Je le sentis s’appuyer un peu plus contre moi : la jouissance devait être si soutenue qu’il ne pouvait presque plus tenir sur ses jambes. Son sperme, bien blanc, épais, dégoulinait le long de ma main et j’étais presque déçu que l’eau ...