1. Les émois de Corinne - Au cœur de la forêt...


    Datte: 16/06/2017, Catégories: fff, fagée, forêt, Oral attache, merveilleu,

    ... Lycaena remonta l’embrasser à pleine bouche. Corinne sentait ses lèvres aspirées dans la bouche chaude de la jeune femme et elle lui répondit par un baiser passionné. Lysandra lui délia les poignets puis, s’installant à califourchon sur elle, lui offrit ses seins. — Viens ma chérie ! fit-elle doucement. Viens les sucer ! Ne les fais pas attendre ! Corinne ne se le fit pas répéter et, s’installant le moins inconfortablement possible, elle prit le mamelon gauche dans sa bouche. Lysandra passa ses mains dans l’épaisse chevelure brune, savourant la pression des lèvres chaudes. Tournant rapidement le buste, elle fit s’échapper le téton de la bouche de Corinne qui tourna la tête et reprit l’aspiration de celui de droite. Lysandra l’embrassa sur le sommet de la tête et caressa les cheveux soyeux tandis que Corinne aspirait le mamelon avec passion : de sa bouche avide elle tétait, tour à tour, les seins de Lysandra. Toute absorbée à sa tâche, elle en avait oublié que ses chevilles étaient toujours entravées et rien ne semblait pouvoir l’arrêter quand une voix énergique lui ordonna soudain : — C’est bien, ma chérie. Je vois que tu as du répondant… Maintenant, prépare-toi pour un autre exercice ! Corinne tourna la tête et écarquilla les yeux en découvrant la silhouette nue, merveilleusement galbée de Lycaena, mais la chose qui de fait l’étonnait n’était pas la nudité de sa ravisseuse, mais l’étrange engin qu’elle portait attaché serré autour des hanches minces. — Tu aimes le sucre ...
    ... d’orge, n’est-ce pas, demanda Lycaena à Corinne en souriant gentiment ? Ses doigts caressaient distraitement ce qui était assurément un godemichet de taille respectable mais qui semblait à la fois irréel et vivant. — C’est pour moi, interrogea Corinne avec les yeux brillants ? Pour elle qui n’avait jamais trouvé d’amant idéalement pourvu, la taille, la grosseur, la longueur, la raideur semblaient véritablement parfaites, comme si la chose avait été créée pour elle, pour son plaisir. Lycaena s’accroupit à son côté et se pencha pour l’embrasser sur les lèvres. Elle lui caressa la joue avec tendresse et lui demanda d’une voix douce : — Tu as envie de mon jouet ? Corinne sentit une bouffée de tendresse et de désir l’envahir… — Oui, fit-elle tandis qu’un large sourire éclairait son visage. Lysandra la fit s’allonger de nouveau sur le dos et s’avança, accroupie, jusqu’à sa tête, lui offrant d’abord le délicieux spectacle de ses seins qui ballottaient puis celui de son coquillage nacré, brillant des fines gouttelettes de son désir. Corinne adorait la jouissance féminine dans une telle position, aussi elle n’hésita pas et, posant ses mains sur les deux globes charnus, c’est avec gourmandise qu’elle enfouit son nez, sa bouche, sa langue, dans la vulve odorante : la caresse sur son visage était merveilleuse… En même temps, elle sentit que Lycaena lui déliait les chevilles et lui relevait impudiquement les cuisses pour en caresser l’intérieur. Corinne interrompit un bref instant son œuvre, ...
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