De découverte en découverte
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
Oral
init,
... sur mon corps, mon entrejambe sentait des picotements de désir, ma cyprine commençait à couler entre mes lèvres encore innocentes. Alors, il descendait de plus en plus vers la cité interdite, encore cachée par mon petit bout de coton blanc… Mais très vite, je me retrouvais nue, allongée sur son lit, totalement abandonnée à ses caresses et à ses baisers. Mes doigts jouaient une course folle pour gagner la jouissance qui ne tardait jamais à venir, ne me laissant pas aller plus loin dans mes songes, tant j’avais déjà pris du plaisir, et je pouvais enfin sombrer dans un sommeil profond, espérant pouvoir vivre la suite dans mes rêves. Tous les jours, nous profitions de quelques instants pour nous bécoter, cachés dans chaque recoin de la maison ou du jardin, profitant d’une promenade en ville, ou en allant chercher le pain. Le dernier jour, les vacances de ses parents se terminant aussi, ils partirent pour le travail vers huit heures trente. Quant à moi, une fois levée et douchée, je me prélassais dehors pour bronzer, espérant au plus profond de moi que Roland ferait son apparition, pour enfin nous embrasser sans devoir nous cacher. J’étais donc allongée au bord de la piscine. Mises à part les cigales, je me sentais seule au monde, tellement c’était calme et reposant. Vers dix heures, je sentis une ombre au-dessus de moi. Curieuse, j’ouvris les yeux et vis Roland qui me regardait tout en souriant… D’un coup je fus dans l’eau. Il m’y rejoignit aussitôt et s’approcha de moi, pour me ...
... prendre dans ses bras et m’embrasser. Serrée très fort contre lui, je sentais son corps frémir. Roland avait trois ans de plus que moi et j’étais fière qu’un beau garçon comme lui s’intéresse à moi. Étant très réservée, je n’avais aucun copain garçon. À cet âge, les garçons préfèrent les filles qui aiment se faire remarquer, elles sont peut-être plus consentantes à leurs yeux. Notre étreinte se faisait de plus en plus folle… Alors, prenant conscience qu’on pourrait être vus, il me prit par la main : — Suis-moi, on va dans ma chambre. Une fois en haut, il ferma la porte à clef derrière lui et s’approcha de moi pour reprendre son étreinte. Que c’était bon de se sentir désirée ! Ses mains caressaient mon corps, quand je sentis mon haut de maillot tomber. J’étais à demi-nue devant lui, pourtant ce n’était pas la première fois, mais une année avait passé depuis le garage. Mon cœur battait la chamade, j’avais envie de sentir sa main glisser dans mon bikini. Il m’entraîna sur son lit, nos deux corps collés l’un à l’autre. Pourtant, quelque chose en lui avait changé. Je le trouvais moins tendre. C’est alors qu’il me repoussa et je le vis retirer son maillot de bain. C’était la première fois de ma vie que je voyais un sexe d’homme et je fus surprise de découvrir son anatomie. Il dut le remarquer. Il me saisit la main pour la déposer sur sa verge. — Caresse-la ! Ce que je fis très maladroitement, je pense. C’était chaud, dur. Voyant mon hésitation, il posa sa main sur la mienne pour me ...