Souvenirs de vacances et plus... 2 Domination soft et plus...
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... souhaites. Je quittai précipitamment mon tabouret et je me prosternai comme les autres personnes devant celle qui allait être ma tortionnaire pour la soirée. Selon les indications qui m’avaient été données, je ne portais que mon soutif et un string noirs et j’avais du louer une immense cape noire également pour me couvrir. Soudain, mes fesses couvertes par la cape ont été cinglées de plusieurs coups de cravache, pas trop appuyés mais suffisamment pour ressentir une brûlure là où les coups avaient porté. C’était l’entrée en matière. L’ordre a claqué sèchement : - Enlève ta cape et tes dessous ! Va te coucher à plat ventre sur le chevalet haut. Pendant que je m’installais, le Noir revint et il a entravé mes poignets et mes chevilles dans des bracelets fixés au sol. Mes seins (qui avaient pris du volume depuis une dizaine d’années) pendaient de chaque côté et mon cul, éclairé par un spot, était offert à la vue de la dizaine de spectateurs, hommes et femmes, qui étaient entrés quelques instants avant l’arrivée de Maîtresse Simone. Et mon supplice commença ! Le Noir est venu placer des pinces sur mes tétons puis il s’est placé sur le côté à la hauteur de mes hanches. Clac ! Une main immense s’est abattue sur une fesse, puis sur l’autre alternativement, pas trop appuyées ces claques mais je sentais ma peau s’échauffer. Je mordais mes lèvres pour ne pas gémir. Soudain cette fessée prit fin pour être remplacée par une caresse douce sur mes fesses, dans mon entrejambe, sur mon dos. ...
... Maîtresse Simone me caressait avec une sorte de plumeau avec une manche assez long et, je l’ai vu plus tard, imitant à l’autre extrémité un phallus de bonne taille. C’était doux et très sensuel. Mais cela n’a pas duré. De nouveau la cravache s’est abattue sur mes fesses, le haut de mes cuisses, au creux de mes reins, sur mes épaules. Là encore les coups n’étaient pas trop appuyés quand Maîtresse Simone a dit à son acolyte : - Charge ! Etire-lui les mamelles ! J’ai compris tout de suite quand il a changé les pinces de mes tétons par d’autres pourvues un petit poids. Mes tétons pincés ont été étirés vers le bas. Là je commençais à avoir vraiment mal et les coups de cravache reprirent. Partout où j’avais été fustigée, j’avais la sensation que des flammes montaient de mon corps. Puis les coups cessèrent, remplacés aussitôt par des nouvelles caresses avec le plumeau. Les spectateurs ont approché, les femmes me caressaient les cheveux, les épaules et m’encourageaient. Les hommes admiraient mes seins pendants ou flattaient mes fesses, allant même jusqu’à introduire un doigt dans ma chatte ou mon cul. Maîtresse Simone dit alors : - Ca suffit, passons à autre chose ! Le Noir dont ce soir là je n’ai pas su le nom, est venu retirer les pinces de mes seins. Il m’a détachée. Il a passé un collier en cuir autour de mon cou et, tenant à la main une laisse, il m’a guidé vers un curieux fauteuil ressemblant à un siège gynécologique mais plus confortable pour que je m’y installe. J’avais le ...