Voyeur récalcitrant
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
forêt,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
69,
pénétratio,
humour,
québec,
occasion,
... réponds pas, j’observe la fille qui me fascine, elle est gracieuse, voix douce, elle se tient bien droite, elle est de celles qui font tourner toutes les têtes. Finalement, elle accepte le transport, Jean va lui ouvrir la portière latérale et monte avec elle à l’arrière. Aussitôt je me dirige vers l’intersection qu’elle nous a donnée. Je ne sais pas pourquoi mais je ne veux pas voir cette jeune fille devenir un X sur le tableau de Jean. En chemin, Jean lui dit que pour nous c’est l’heure de notre pause, qu’elle peut prendre un café avec nous, beau mensonge, nous n’avons pas de pause. Devant l’insistance de Jean, elle accepte. Je m’arrête face à un restaurant et attends. — Marc, va chercher trois cafés, dit Jean.— Non, vas-y-toi, je réponds. Je vois qu’il est furieux, ce qui me fait sourire. Il descend chercher les cafés. — Tu ne parles pas beaucoup, dit la jeune fille. Je me retourne, je suis frappé par sa posture, bien droite, genoux collés, sa position assise dévoile de très belles cuisses mais elle a un je-ne-sais-quoi qui la rend différente de la majorité des femmes. — Tu es très jolie, quel est ton nom ?— Marika.— Étudiante ?— Oui à l’UM. Tu n’as pas l’air d’accord avec ton copain.— Non, tiens, il arrive. Jean rejoint Marika et propose de lui montrer la ville du haut de la montagne à partir d’un endroit magnifique. Je connais très bien l’endroit, c’est désert et n’est accessible que par les véhicules de service. Par contre, il est vrai que la vue est très belle, ...
... surtout la nuit. Elle se dit curieuse de voir l’endroit. Un peu déçu, je roule en direction du point d’observation. Une fois sur place, je me cale sur mon siège, dégustant le café. J’entends Jean baratiner la petite, celle-ci prend ma présence comme excuse pour le repousser. Il se fait plus entreprenant, elle dit : — Non, je ne veux pas, pas avec toi. Douce musique à mes oreilles. Jean perd patience et couche de force Marika sur le banc. Celle-ci crie : — Non ! Je me lève, passe à l’arrière et fais tomber celui-ci par terre entre le banc et la civière. D’une voix autoritaire, je l’engueule. — Quand une femme dit non, ça veut dire non. Il y a juste les idiots qui croient qu’un non veut dire oui. Fais pas le con, sinon je te fous mon pied au cul. Merde, le sergent arrive ! Je viens de voir le véhicule du sergent passer en contrebas. Je saute sur mon siège, l’accélérateur au plancher, je démarre, phares éteints. À grande vitesse, je prends des sentiers afin d’éviter de croiser l’officier, mes deux passagers sont ballottés en tous sens. Dès que je suis certain de ne pas être vu, je stoppe, descends, contourne le véhicule, ouvre la portière et fais descendre Marika puis saisis une couverture sur la civière. Avant de refermer, j’ordonne à Jean de demeurer dans le véhicule s’il veut éviter une accusation. J’entraîne Marika dans les sous-bois, la tenant par la main, celle-ci suit sans dire un mot. Lorsque je suis hors de vue de Jean, je m’arrête, enlace Marika et l’embrasse, elle répond ...