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AU FENIL
Datte: 03/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... sexe, dilate doucement ma vulve détrempée, finit par s'enfoncer dans mon vagin douloureux jusqu'au poignet et s’engage plus profondément. A chaque geste, mon corps se fait plus accueillant et la douleur disparaît. Leurs mouvements, amples et doux, m'anéantissent et me mettent en émoi. Je ne m'appartiens plus et je suis habitée de leurs membres, comme une marionnette de ceux de son animateur. Tout mon corps tremble et frémit et ne répond plus à mon cerveau. Mes cuisses s'emplissent de mouille et de ma bouche jaillissent des flots de salive. Je jouis en un mélange d’exaltation et de peur viscérale et m'effondre dans la paille. Mes amants se dénudent et font l'amour entre eux discrètement tout prés de mon corps repu et fatigué. Leur respiration saccadée me dit leur plaisir avant qu'ils ne se couchent à mes côtés, apparemment satisfaits. Je suis anéantie et ne puis bouger un seul muscle. La chaleur de leurs corps me réchauffe et me rassure. Je m'endors ainsi les sens en paix. Au matin, les premiers rayons du soleil éclairent l'anatomie de mes compagnons. Peut-être devrais-je dire de mes compagnes. La plus jeune est une éphèbe d'une vingtaine d'années, de petite taille, au corps sans apprêt. Sa pilosité châtain est peu abondante et ses cheveux coupés courts. Son corps fin et androgyne se termine par des mains et des pieds longs et fins. Ses jambes et ses bras sont fuselés. Ses seins et ses fesses à peine dessinés. Je soupçonne sa main d'avoir violé mon sexe. Elle ouvre sur moi ...
... d'étonnants yeux noisette immenses en regard de la finesse de son visage, orné d'un petit nez retroussé et de minuscules oreilles. Elle caresse ma tête et m'incite à la retourner. Notre compagn(on)e est grand(e) et bien proportionné(e). Elle (il) doit, comme moi, avoir une bonne trentaine d'années. Son visage est massif mais les traits en sont élégants. Le cheveu brun est long et le regard clair. Sans surprise, sous les épaules droites se dressent des seins juvéniles et fermes. Le reste du corps dit sa féminité si ce n'est une étonnante verge de dimension moyenne qui commence à s'ériger sous mon regard. Je ne puis retenir un geste dans sa direction et l'enveloppe d'une caresse. Sous les bourses gîte une aspérité cicatricielle qui laisse penser aux séquelles d'un hermaphrodisme opéré. Son phallus se dresse sous mes doigts et je ne vois d'autre issue que de l'entourer de mes lèvres. Je m'agite et à chaque mouvement l'enfonce plus loin vers ma gorge. Mon amant(e) bloque ma tête de ses mains et en pousse le gland dans mon larynx. Je suis d'abord agitée de spasmes et bave abondamment, puis il relâche sa pression et je finis par apprécier d'être ainsi pénétrée. Ma bouche enflamme mon cul et mon sexe et mon bassin s'agite. L’éphèbe prépare mon anus qui s’arrondit et se dilate sous ses doigts délicats . La « ladyboy » quitte ma bouche et enfonce profondément son vit entre mes fesses offertes en levrette. Son amie est couchée sous moi et embrasse mes lèvres et mon visage en excitant de ...