1. Il ne faut pas s'arrêter aux apparences


    Datte: 04/03/2019, Catégories: fh, extracon, vengeance, Oral 69, fdanus, fsodo, jouet, init,

    ... verge toute molle. Cette caresse toujours refusée auparavant est d’une excitation sans borne. Je peux presque sentir mon cœur s’accélérer pour envoyer tout le sang nécessaire pour l’érection. Le résultat me libère d’un poids. Cocu, oui. Mais impuissant, non. Je suis le mâle que la femelle honore par ses caresses buccales. Combien de temps faut-il, si on appuie sur le bon bouton, pour qu’une verge passe du repos au garde-à-vous ? Quelques secondes, pas plus. Maintenant, c’est un bâton bien raide qu’elle suce. Petite pensée contradictoire sur le travail accompli par lui, même si c’est en trichant :« C’est le mien, pas celui de ce salaud de Paul ! » Contrairement à la vidéo, le regard de ma femme reste obstinément baissé, refusant de me regarder. Peut-être a-t-elle honte et n’ose pas croiser mon regard. D’une main, je la relève. Elle se repositionne. En appui sur la table, jambes écartées, elle est offerte. La pierre verte m’hypnotise. Je la prends entre mes doigts ; elle est littéralement collée à la peau. Si elle tourne sans difficulté, lorsque je la tire je sens une résistance qui la fait se replaquer dès que je la libère. Une force intérieure ne veut pas la lâcher. Bien sûr, je sais que la forme du plug est justement choisie pour qu’une fois la partie la plus grosse passée, le sphincter de l’anus cherche à se refermer sur la partie en pente, glissant vers le diamètre le plus petit. Et pour ressortir, il faut le forcer à se dilater à nouveau. Mais j’aime mieux penser que ...
    ... c’est la volonté de ma femme qui, voulant le conserver en elle, s’oppose à mon geste. C’est plus érotique ! Je tire doucement. L’anus suit la forme en se dilatant. C’est une vision perturbante, mais enfin il passe le gros diamètre et alors il n’a de cesse que d’expulser le plug. Je l’avais lu. Je l’avais vu dans des vidéos pornos. Peut-être même avais-je pu le deviner, lors de la séance dans ma chambre. Ainsi, c’est vrai. J’en ai la preuve sous les yeux : l’anus ne se referme pas totalement ; il reste ouvert, œil obscène qui me regarde. Pire : qui me défie ! J’ai même l’impression qu’il frémit. Dominique se couche sur la table m’offrant en plus sa cambrure. Ma queue décide pour moi. Cela fait si longtemps que je lui parle de cet instant, toujours espéré, jamais atteint, qu’elle avance pour se placer. Le reste n’est qu’une longue et continue pression qui l’amène tout au fond. Une longue plainte accompagne la possession. C’est elle ? C’est moi ? Peu importe ; je suis en elle, son cul est à moi. Je suis si loin que mes couilles touchent sa chatte. Je déguste cet instant. J’ai un âge où l’on sait apprécier les choses, surtout lorsqu’elles vous ont été longtemps refusées. Mais c’est oublié. L’avenir est à nous. Je sens mon enculée se déplacer un peu.« Attends, ma belle. Tu vas te souvenir de notre première fois. Demain, ton Paul ne sera plus qu’un souvenir ; c’est ma queue qui va te défoncer le cul ! » Je la baise si fort que la table bouge. Ma femme, entraînée par mon rythme d’enfer, ...