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Annie s'amuse avec moi
Datte: 17/08/2017, Catégories: fh, fplusag, extracon, copains, complexe, campagne, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, init,
... de la route bloqués par le moteur qui refusait de fonctionner. — Tu me fais le coup de la panne, Romain ? Elle était toujours de bonne humeur malgré l’annulation du départ de son train. Elle est toujours enjouée, c’est une des raisons qui la rend sexy à mon goût. — Non, non. Je ne comprends pas. Je vais voir ce qu’il se passe. J’ouvris le capot et m’approchai du moteur. Malheureusement je suis un piètre mécanicien. Elle me rejoignit dehors, et nous étions à présent tous les deux bien mouillés. — Je crois que nous sommes bloqués Annie. La voiture ne veut pas redémarrer, et personne ne viendra nous chercher par ce temps. Puis il est près de 10 heures. Nous sommes loin de tout ici.— Je crois que tu as raison Romain. Nous n’allons tout de même pas passer la nuit dans ta voiture. Oh regarde ! Je me retournai. Trente mètres derrière nous se trouvait un gîte. Annie prit sa valise, je fermai à clé la bagnole, et rapidement, nous nous dirigeâmes vers la bâtisse. Un portail avec sonnerie et interphone nous empêchait de rentrer. Nous sonnâmes. Par chance, les propriétaires habitaient sur le même terrain une villa à côté. Ils nous répondirent et nous louèrent pour la nuit le gîte, comprenant notre grand désarroi après nos explications. Munis des clés, nous pénétrâmes la bâtisse seuls. Nous avions refusé aux proprios de nous faire visiter. Nous ne voulions pas les mouiller pour rien. Visiblement, ce n’était pas un lieu cossu. Un hall nous accueillait avec un couloir derrière lui. Sur la ...
... gauche se trouvait une cuisine. Sur la droite se situaient deux pièces. C’étaient la cuisine, et la salle de bain qui faisait office de sanitaires pour la même occasion. Il ne restait plus qu’une porte face à nous. Nous y pénétrâmes. C’était la seule chambre. Et le lit était de taille 120. À mi-chemin entre un lit simple et un lit double. J’étais très gêné par la situation. Je ne savais pas où j’allais pouvoir dormir. Elle l’était moins visiblement. — Parfait, ça conviendra pour la nuit. Je prends la salle de bain en premier. Je vais vite me changer sinon je vais attraper froid. Je suis toute trempée. Tu l’es toi aussi d’ailleurs, me fit-elle remarquer. Elle partit donc dans la pièce voisine prendre une bonne douche chaude. J’entendais l’eau couler. De mon côté, j’étais prostré devant la chambre dans le couloir. Je grelottais. Au bout de six petites minutes, la porte de la salle de bain s’ouvrit. Elle me dévisageait. Moi aussi. Elle portait un simple tee-shirt pour pyjama. Je ne savais pas si elle portait une culotte en dessous. Concernant le soutien-gorge, j’aurais parié qu’elle n’en avait pas. Elle a une petite poitrine à ce que j’ai pu remarquer depuis que nous nous connaissons. Je ne l’imagine pas dormir avec un sous-vêtement pour maintenir ses petits seins. Elle ne me semblait pas gênée. Le tee-shirt tombait à mi-cuisses. Mais il n’était pas si long. — Ne reste pas comme ça, tu vas attraper froid.— Mais je n’ai pas d’affaires de rechange moi. Je n’ai pas de valise comme ...