1. Histoire de doutes


    Datte: 04/03/2019, Catégories: hh, fhhh, hplusag, cocus, inconnu, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral pénétratio, fdanus, Partouze / Groupe yeuxbandés, humour,

    ... que les nombrils. Elle se saisissait tant bien que mal des bites décalottées. Ma jumelle d’action s’énervait. Ses mains frottaient nos cuisses respectives sans les voir. L’effet dopait l’audiovisuel. Un peu comme la petite dose de « bang » dans la poudre à lessiver. T’es content de l’avoir mise même si tu n’es pas certain de la finalité. — Je pourrais participer ?— Bien sûr, mon ami. Plus il y en a et plus cela m’excite. J’abandonnais la main de Christine pour accoster le chauve. Il ahanait, invectivait l’épouse en la traitant de salope, putain, Dieu que t’es bonne. Son membre coulissait dans la vulve épilée. Je voyais parfaitement les allers-retours du bord de ses lèvres qui s’écrasaient sous la pression de la bite encapotée. La lumière intense dévoilait sans pudeur le clitoris qui se pliait sous la tempête charnelle. Les coins de la « table d’offrande » se terminaient par quatre calices de pierre remplis de petits sachets carrés reluisants. J’y pris une capote et me préparai pour la succession. Cela ne dura pas longtemps. Sur un « aah, je me vide, je te remplis », le limeur sans coiffure abandonna son poste qui fut repris aussi vite qu’un siège de direction à la S.N.C.F. par mézigue. Le con de la belle étendue n’eut pas le temps de se rétrécir. Elle posa des petits pieds au bord du marbre, s’ouvrant encore un peu plus. Ses grandes jambes formaient un compas accueillant. C’est vrai que c’était bon. Un con, c’est un con. Oui, mais on ne sent pas la même chose quand ce ...
    ... n’est pas l’habituel de con. Une pulsion incroyable s’empara de moi. Je me pliais pour saisir les deux montagnes tremblantes qui me narguaient depuis mon arrivée. Là aussi, c’était étrange. Sept années d’habitude et vlan ! On n’oublie qu’il y en a d’autres. Ceux-ci sont plus rigides et les bouts plus bruns. Ils donnent envie de les téter à vue. Moi, j’ai beau me plier au risque de déjanter, je n’arrive pas jusque-là. Toujours prêt à rendre service, un des bedonnés se charge d’exécuter mon désir. Il se met à sucer l’arrogante poitrine comme un gros bébé qui a soif. Et pendant ce temps-là… Le mari pas jaloux négociait une petite pipe avec mon amie qui riait en sautillant. Ce qui améliora nettement le mouvement circulaire de sa main entrée dans le calcif du mâle voyeur. À genoux, femme païenne, honore ton dieu bandeur ! Tandis que l’époux se remit à sa besogne d’espionnage, ma petite Christine lui enleva l’encombrante pièce d’étoffe. Un gros membre surgit, prêt à l’emploi, oscillant de bonheur sur la poitrine de l’agenouillée. J’en avais assez et puis je voulais encore garder des forces pour la suite de la nuit. Après m’être extrait de la fente conjugale, je revins m’asseoir près du mari pompé. Il se contractait, déjà prêt à jouir. — Pas dans ma bouche, hein.— Voyons Christine, tu manges bien des blés de soya. Les spermatozoïdes, c’est pareil sauf que c’est plus petit donc plus digeste. Profites-en ! Elle me regardait avec déférence pendant que les jets dévalaient sa gorge devenue ...
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