Jenny en boîte
Datte: 04/03/2019,
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... dégueulez longuement en ayant eu le réflexe de vous relever quelque peu et de tourner la tête sur le côté. Ça sent maintenant la tequila prédigérée en plus du sperme ; c’en est trop, vous en remettez une galette : Bleeeuuaaarrrreeuugglll ! Vous rampez en essayant d’éviter votre mare de gerbe jusqu’à une fringue qui traîne par terre, peu importe à qui elle est, et vous vous essuyez le visage avec. Vous rouvrez enfin les yeux devant ceux, mortifiés, de vos quatre partenaires. « Excusez-moi… » bredouillez-vous en vous traînant à la recherche de la salle de bains, ou d’un quelconque point d’eau. Quand vous en revenez, un peu plus propre, tous sont occupés à nettoyer le salon, sauf Colin, qui regarde tristement sa chemise avec laquelle vous vous êtes épongée. Vous riez en récupérant vos fringues et vous excusez à nouveau, puis leur dites qu’il vaut sans doute mieux que vous rentriez. Tout le monde s’accorde sur le fait que ce soit en effet préférable et Sandy vous raccompagne bientôt en voiture. Vous n’échangez que peu de mots sur le trajet et vous rejoignez enfin votre lit avec un sentiment mitigé. Étrange soirée… Rendez-vous en300. 204 : Mais ce crétin ne veut rien comprendre. « Attends, Jenny ! » hurle-t-il en vous courant après tandis que vous vous éloignez à toute vitesse. « Va te faire foutre ! » lui répondez-vous. « T’es trop con ! ». Mais ça ne l’arrête pas. « Attends, c’est trop bête ! On va pas se disputer pour une broutille comme ça… ». Une broutille ! Cet ahuri en a ...
... de bonnes ! Et qui c’est qui va devoir se taper deux heures de marche pour rentrer ? « Dégage ! Fous-moi la paix ! » criez-vous encore en accélérant le pas. « Salope ! » finit-il par beugler, s’avouant vaincu. Vous rentrez chez vous en petites foulées, en maudissant tous les mecs de la terre et aussi Sandy. Et vous vous couchez au petit matin, très en sueur, en vous promettant de ne plus jamais aller dans cette sale boîte pourrie. Rendez-vous en300. 205 : Vous prenez une profonde respiration et, d’un clignement de paupières, lui faites comprendre que vous êtes d’accord. Il saute de joie à plusieurs reprises en tournoyant maintes fois sur lui-même, s’attirant les regards moqueurs de tous les gens autour de vous, et par-là même, vous vous chopez encore une bonne grosse couche de honte. Mais après tout, vous commencez à être blindée. Vous le calmez et l’empêchez de rebondir encore, puis l’entraînez jusqu’au vestiaire et au parking, où il s’approche finalement d’une vieille mobylette minable de laquelle il détache deux restes de casques piteux. Il vous tend l’un des deux et un vaste sourire. Oh putain ! Même ses dents sont de traviole ! Bon, allez, courage ! Vous enfilez le pauvre casque et montez derrière lui sur la pauvre meule, et après un bon quart d’heure d’un horrible voyage où vous manquez une dizaine de fois de tomber de la selle dérisoire, vous voici enfin parvenue dans l’antre de Raoul, un modeste studio à moitié crasseux. Le jeune homme vous demande ce que vous voulez ...