1. Léa et le baiser du diable


    Datte: 04/03/2019, Catégories: fh, jeunes, Oral init,

    Léa regarde le fond de sa tasse à café, absorbée par le léger dépôt de marc et de sucre fondu. Depuis maintenant plus de vingt minutes, Kevin s’est lancé dans une brillante démonstration hautement philosophique qui commence sérieusement à l’ennuyer. Pourtant, Léa est "raide dingue" de Kevin. Du "beau Kevin", comme elle le désigne avec ses copines. C’est vrai qu’il est beau et qu’il le sait et qu’il en joue, le bougre. Grand, brun, les yeux gris, le visage régulier, un cou épais mais élégant mais légèrement traînant, des épaules de déménageur, une musculature à faire pâlir un haltérophile. Une démarche souple et une tête bien faite, il ne peut que représenter tous les fantasmes féminins et rares sont les filles qui ne rêvent pas de tomber dans ces bras. Aussi lorsqu’à la sortie du cours il lui a proposé d’aller boire un verre ensemble, elle n’a pas hésité un instant. Car Léa, est "tombée en amour" de ce "beau mec", de sa nonchalance comme de son intelligence comme de sa beauté virile et de ce que je ne sais quoi qu’il dégage sur son passage. Mais là, la démonstration philosophique sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour Léa, cela commence à faire un peu … long. Déjà les consommations, ont été renouvelées par deux fois et s’accumulent sur la table et cette conversation, enfin le monologue de Kevin tire de plus en plus en longueur. Enfin, Kevin, s’interrompt. Un brin satisfait de son argumentation il contemple Léa qui dresse alors la tête. Il la fixe, droit ...
    ... dans le fond des yeux, cherchant une approbation ou un reflet d’auto satisfaction. — C’est bien de parler, commence Léa— … mais ce serait mieux d’agir, termine Kevin.— Ouais, super mieux ! Kevin semble avoir compris. Il consulte les additions des consommations et discrètement les règle, puis il l’invite à sortir. Sur le trottoir, les deux étudiants, bras dessus bras dessous, décident de rejoindre à pied le studio de Léa, proche du café. A peine arrivé dans le studio de Léa, Kevin plaque calmement Léa contre le mur d’entrée et l’embrasse longuement et tendrement. Surprise de ce geste et de sa rapidité, mais heureuse, Léa se laisse faire et attire discrètement Kevin vers le lit divan sur lequel ils s’écroulent, se roulent et s’ébattent sans que Kevin ne lâche la bouche de Léa qu’il fouille avec avidité, expérience et gourmandise. Léa, très émue par ce langoureux baiser, s’abandonne largement. Elle se laisse explorer profondément, aspire la langue qui l’investit, vient coller la sienne à l’intruse. Les salives se mélangent. Les mains de Kevin après avoir emprisonnés ses épaules, commencent à s’activer sur son corps, sur ses vêtements et le visite de haut en bas, de bas en haut, électrisant la jeune fille. Léa se laisse faire, goûte le plaisir qu’elle a à se faire peloter, tantôt rudement tantôt tendrement par des mains qui ne cessent de bouger, qui enveloppent ses seins, ses fesses, son ventre, son entre jambe … des mains qui sont partout au point qu’elle jurerait qu’il y en a ...
«1234...»