Sara, ma perle d'Ethiopie
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
fh,
voyage,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
aventure,
occasion,
nature,
... enfiler. Il me prit en levrette, agrippant mes hanches et contrebalançant la poussée impulsée quand il enfouissait son sexe dans le mien. Au début, je subissais l’assaut passivement, puis je voulus ma part de la fête. Ne dit-on pas que l’appétit vient en mangeant ? Je frétillai et ondulai en même temps que je contractai mes muscles vaginaux pour mieux le sentir dans mon ventre. Le moment vint où le désir enflamma mes sens. Je perdis la tête et fonçai en quête du graal, triturai ses bourses, caressai mes seins, le clito ou n’importe quoi qui assouvissait ce besoin physique, frénétique, quasi épileptique que j’avais de nous rudoyer, de le violenter, de m’étriller. L’explosion fut presque simultanée chez lui et chez moi. Je braillai sans retenue tandis que les spasmes orgasmiques répandaient l’allégresse avant la plénitude. Le trop plein de sperme et de cyprine suintait et poissait mes cuisses. Ma vulve recracha le pénis flaccide tandis que je m’affalais contre le capot de la voiture sur lequel j’avais pris appui. Pris-je l’initiative ? Me le demanda-t-il ? Je ne me souviens plus. Quoi qu’il en soit, le phallus était glorieux quand j’en eus fini, comme neuf, bien propret et plus raide que jamais. Lui de son côté n’était pas en reste, lapant, aspirant et récurant mon intimité dans ses moindres recoins. La bête à deux dos s’agitait sur ce foutu lit de paille que nous avions étendu sur le sol. C’était très inconfortable. Qui s’en plaignit ? Pas lui et moi pas trop mais je réclamai ...
... malgré tout la place à l’étage quand j’en eus assez de l’enfer du rez-de-chaussée. Le comble était qu’après ce grand nettoyage nous remîmes le couvert et, chose rare par ici, en tous cas pour moi, nous le fîmes à la façon des missionnaires. Je ne connais pas la valeur historique de cette expression mais elle est de nos jours assez courante en sexologie pour que tout un chacun voie ce que je veux dire. L’animal vida à nouveau ses burettes. Il n’en finissait pas de cracher. Sa semence était abondante, épaisse et chaude, très chaude au fond de mon vagin. Il largua un bon tombereau. Toute sa boîte de kleenex y passa quand j’entrepris de nettoyer. ooo000ooo Chouette journée ! Je trouvai un prof francophone qui accepta de jouer le Cicérone mais par-dessus tout, j’eus la révélation. La révélation des révélations. Certains diront une hallucination. Croyez ce que vous voulez. C’était à la mission catholique pendant que je me recueillais à la petite « cathédrale » et priais comme je le fais tous les jours depuis des années. L’évidence surgit tel un éclair fulgurant dans le ciel. Ma journée était bénie de Dieu. J’en ressortis transfigurée, illuminée. L’illumination m’apporta l’amour. Un immense amour. Ce jour-là, j’aimai passionnément, Henok et pas un autre, plus que je n’aimerai jamais un autre homme. Mon sentiment était intense, profond, irrépressible. Au retour, j’imposai une halte dans ce champ que nous connaissions près du lac. La paillasse du matin n’était plus si déplaisante. Je ...