1. Mes deux princesses


    Datte: 05/03/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, jeunes, extracon, copains, profélève, cinéma, école, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme facial, Oral jeu, hff,

    ... corps ? Est-ce qu’il est si doué que ça avec sa langue, que tu aies envie de t’acharner sur son sexe comme sur le mien ? Est-ce qu’il te prend comme un fou dans sa douche ? Est-ce qu’il pense à toi toute la semaine, à ton corps, à ta peau, à tes seins, à ta langue ? En lui disant cela, mes mains commencèrent à glisser un peu le long de son cou, en s’approchant doucement de sa poitrine. — Qu’il pense à moi, je l’espère, vu qu’il compte m’épouser, me répond-elle sèchement, sans toutefois me repousser.— Il te fait jouir ? Il t’a fait l’amour depuis que tu l’as retrouvé ? Mes mains saisissent délicatement ses seins. Je les masse légèrement, mes lèvres glissent sur ses joues. Sa poitrine se gonfle sous mes doigts. Je sens le rythme de son cœur accélérer. Mes lèvres s’avancent jusqu’aux siennes. Ma prof retourne sa tête tout en douceur, entrouvre les lèvres et laisse ma langue y pénétrer. Nos langues recommencent le ballet sensuel qu’elles avaient commencé la semaine dernière. Toute la douceur de cette femme pénètre dans ma bouche durant ce baiser, sa langue caresse la mienne, sa salive se mélange à la mienne. Mes mains quittent provisoirement ses seins pour venir passer dans son décolleté. Elle porte un soutien-gorge, mais je sens largement la chaleur de sa poitrine s’étendre sur mes paumes. Elle m’embrasse sincèrement, franchement. Mon sexe entre déjà en érection. — Je pensais que tu résisterais plus longtemps, lui dis-je une fois notre baiser interrompu.— Mais tu ne m’as ...
    ... pas encore remise dans ton lit, tu sais, me dit-elle, sarcastique.— Pas encore, mais j’embrasse ta merveilleuse bouche et je caresse des seins magnifiques. Et je vais bander pendant tout le cours, à quelques mètres de toi, en pensant à tes lèvres.— Lesquelles ? me répond-elle coquine.— Celles que tu veux. Alors que mes lèvres se posent de nouveau sur les siennes, quelqu’un tape à la porte vitrée derrière nous. Je me retourne, et n’en crois pas mes yeux. Ma meilleure amie me regarde derrière la vitre d’un air surpris. C’est une jolie blonde, un peu timide, mince et gracieuse. Je la regarde d’un air horrifié. Je savais qu’on risquait d’être repérés, mais l’être par elle, c’est vraiment gênant. Elle entre dans la salle, alors que j’enlève mes mains de là où elles sont. — Que fais-tu ? me demande-t-elle suspicieuse.— Je…— Je t’ai vu dans le couloir, je t’ai cherché après, me dit-elle, toujours étonnée. Et… Enfin, c’est… ?— Sa prof, dit cette dernière en se retournant, même pas gênée.— Ah, déclara ma meilleure amie. Euh, bien.— Tu as l’air choquée, dis-je en essayant de faire comme si tout avait l’air normal.— Choquée non. Mais avoue que c’est curieux, répond-elle confuse mais amusée. Tu m’avais dit que tu étais un peu en manque, mais quand même.— Dans ce cas-là, mademoiselle, il fallait vous dévouer, déclare ma prof, tout de go. Ma meilleure amie la regarde, les yeux ronds. Moi-même, je suis terriblement gêné. — Ne me dis pas que c’est sans arrière-pensées que tu racontes tes ...
«1234...18»