1. Adultère vite fait bien fait


    Datte: 05/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Mes talons claquaient au rythme du pas de cet homme , un rythme imposé qui donnait une mélodie inconnue. mes talons raisonnaient dans ma tête, ils jouaient l’hymne de l’adultère. Il se chargeait lui-même de compter les articles devant la vendeuse qui gérait les cabines et de prendre le carton numéroté. Il faisait comme s’il était mon mari, il me fit rentrer dans une cabine et rentra lui aussi avant de fermer le rideau. Il me plaqua contre la paroi et m’embrassa avant de me faire mettre à genoux devant lui pour que je le suce. Hum sa délicieuse bite, je la dévorais tellement qu’il dut me retenir et me fit relever me disant ; doucement cocote, tu es en manque ou quoi , ton mari ne doit pas te donner ce qu’il te faut . Pour lui faire plaisir je disais : oui, je suis en manque baisez-moi , baisez-moi . Je retroussais moi-même ma petite jupe, il m’attrapa par les cuisses et m’empala sur son piston qui me pénétrait doucement mais sûrement jusqu’à la garde. Il me soulevait pour me refaire descendre sur sa colonne . Je l’avais tellement excité qu’il ne tardait pas à lâcher sa sauce dans mon ventre, que c’était bon, je sentais les puissants jets , je me tenais à son cou m’enfonçait bien a fond jusqu’à sentir ses couilles sur mon cul et restait un moment plantée sur ce sexe inconnu , ce sexe qui n’avait rien à faire dans mon ventre, que c’était bon. Toi alors, m'a t-il dit , tu es une sacrée chaudasse une baiseuse ! Toujours empalée sur lui, je l’embrassais, je lui donnais ma ...
    ... langue. Je faisais ma salope , ma putain , j’étais bien , j’avais besoin de ça . Je finis par me décoller de cet homme qui ne devrait pas être entre mes cuisses . Il se réajuste et s’accroupit devant moi, je ne m’attendais pas à autant de bienveillance, pour un homme qui baisse sans vergogne une petite femme fragile et vulnérable. Cet homme qui avait profité du démon qui me possède me nettoyait mon intimité souillée de sa semence vagabonde. Nous échangeons nos noms , nos numéros de téléphone . Il me demande quand il peut m’appeler, je lui dis les moments ou mon mari n’est pas là . Nous sortons ensemble comme un gentil couple , sans même avoir fait l’essayage de la lingerie, mais ce que j’avais essayé me satisfaisait pleinement. La vendeuse qui devait avoir entendue, fit un sourire ravageur à mon baiseur, je crois bien que cette petite garce aurait bien voulue la même chose, entre garces, on se comprend. Je venais de me prendre un bon calibre et je rentrais chez moi satisfaite de ma sortie. La petite-bourgeoise rentrait , laissant la salope avec ses fantasmes et sa libido débordante. En rentrant j’insultais cette pute qui se laisser baiser par le premier venu. Je jurais que c’était la dernière fois que je me comportais comme une trainée qui écarte les cuisses aussi facilement qu’une prostituée. Oui , c’était fini , désormais je serais que la femme de mon mari , plus personne d’autre que lui ne me touchera . Je rentrais et me réfugiais dans ses bras , mon tendre époux , mon mari ...