La Roseraie
Datte: 05/03/2019,
Catégories:
couple,
inconnu,
copains,
piscine,
fête,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
nopéné,
jeu,
attache,
yeuxbandés,
journal,
... vertueuse. Olivier est le seul…— Ah ! Pas envie de changer un peu, Sophie ?— Et Sandrine ?— Olivier lui plaît déjà… Je me libère des mains du dragueur trop rustre. Allons-nous rester nus, après la baignade ? Julie sort de l’eau la première, Caroline la suit et s’entoure d’une serviette rouge, mal assortie à ses yeux verts. Mais l’idée est bonne. Il ne reste que trois serviettes au bord de la piscine. La petite bleue me convient. Son bord replié juste au-dessus des seins, elle descend à peine plus bas que mon pubis, qu’elle va dévoiler à chacun de mes pas. Julie va en chercher d’autres, Sandrine a pris la dernière, simplement mise en paréo autour des hanches. Fière de ses seins, Sandrine ! Elle peut avoir trente-cinq ans, peut-être un peu plus. J’ai vu tout à l’heure son sexe épilé, avec le ticket de métro de poils ras au-dessus. Faudra que j’essaie, moi qui me contente du maillot et des ciseaux. Mes petites lèvres seront sûrement moins saillantes que les siennes. Question d’âge ? Penser à demander aux hommes ce qu’ils préfèrent. Au besoin, tirer dessus pour les étirer. Olivier, quand tu y apposeras les pinces à linge… Il sort de l’eau. Il ne bande plus qu’à moitié, il a attendu un peu. — Tu veux que je te prête ma serviette, Olivier ?— Non ! Frédéric a ri. J’aime son rire d’enfant. — Moi je veux bien, Sophie ! Belles épaules, ventre plat, sexe encore à demi bandé, lui aussi, avec un filet d’eau au bout. Boire cette eau. Tiens, Frédéric, la voilà… Non, trop tôt, Olivier ne me ...
... le pardonnerait peut-être pas. D’ailleurs, Julie arrive avec de quoi couvrir ceux qui veulent l’être, et ils le veulent tous. Toujours en tenue de bain, les autres étaient restés devant leurs apéritifs. Nos serviettes sont-elles plus excitantes qu’un bikini ? Possible. Certain, même. Couchée sur le ventre au bord de la piscine, se sécher au soleil couchant, la petite serviette ne couvrant pas vraiment, ou vraiment pas, mes fesses rebondies. Mais pudique, Sophie, jambes serrées, Olivier surveille ! — Il faut passer à table, pour grignoter quelque chose, invite bientôt Julie. Dans la grande pièce, à la fois cuisine et salle à manger, deux bancs de chaque côté d’une table de chêne que couvre une nappe blanche. J’ai remonté le bas de ma serviette et suis assise le derrière à même le bois. Olivier vient naturellement s’installer à mon côté. Frédéric aussi, à ma droite. À côté de Caroline, Nicolas. Christelle est à la gauche d’Olivier. Frédéric, tu pourras, sous la nappe, laisser traîner ta main sur mon corps pulpeux, pendant que s’égarera la mienne dans ton entrejambe vite à nouveau rigide. On est bien, en tout cas. Oui, comme on est bien ! Tout naturellement, Frédéric pose en effet sa main sur mon genou, en me parlant. Et du genou il passe à la cuisse, je ne le chasse pas et même j’écarte un peu les jambes. Remonte donc, beau Frédéric ! Appuie sur le petit bouton d’amour, qui sonne la charge d’adrénaline et fait follement battre le cœur ! Olivier est tourné vers Christelle, qui ...