1. Dîner coquin entre voisins


    Datte: 06/03/2019, Catégories: f, fh, freresoeur, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation attache, fbi,

    ... transparent et un soutien-gorge push-up pour mettre mes formes déjà généreuses, un peu plus en valeur. Lorsque je vins sonner à leur porte vers 20h, ce fut Thomas qui m’ouvrit. — Entre ! Un peu déçue que ce ne soit pas Karine, je lui fis la bise, non sans remarquer que ma tenue lui faisait de l’effet. Il salivait devant mon chemisier et ma poitrine qui se dessinait en dessous. Il ne s’en cachait pas et semblait même compter le nombre de boutons ainsi que le temps qu’il lui faudrait pour me les arracher. Amusée, je lui souris et regardais par-dessus son épaule dans l’espoir d’entrevoir sa sœur. Ayant remarqué mon geste, il se fit plus insistant. Il posa sa main sur ma nuque et redescendit en suivant la ligne de ma colonne vertébrale, s’attardant sur les agrafes de mon soutien-gorge pour ensuite arriver lentement vers le creux de mes reins et à la naissance de mes fesses. Cette caresse m’ôta un soupir et instinctivement je reculai, appuyant ainsi un peu plus ses doigts contre mon corps. Sa main était à présent entièrement sur mes fesses. Elle naviguait aisément sur le tissu de mon pantalon, faisant monter en moi une vague de désir. Je reculais encore, lui offrant plus de prise. Satisfait de l’effet qu’il m’avait procuré, Thomas s’arrêta et remit sa main dans le bas de mon dos. — Ne t’inquiète pas, elle n’est pas loin. Sur ce, il me poussa en avant, sans brusquerie, mais avec une assurance certaine. — Je vais te faire visiter… Je n’avais pas spécialement besoin de visiter, nos ...
    ... maisons étant jumelles, je savais à quoi elle ressemblait ! Mais je me laissai tout de même guider, espérant à chaque tournant que Karine apparaîtrait. Il me conduisit devant une porte qui semblait être celle d’une chambre. — Ouvre ! Lentement j’actionnai la poignée, tressaillant sous les doigts de Thomas qui venait à nouveau de parcourir mon dos. En poussant la porte, il s’est très vite avéré que j’avais raison : il s’agissait bien d’une chambre. Mon regard balaya la pièce et mes yeux se fixèrent en direction du lit. Elle était là ! Adossée aux barreaux du lit Karine me souriait, me contemplait de son regard émeraude. Ses cheveux étaient relâchés et descendaient en une cascade dorée le long de ses épaules. Elle portait un déshabillé noir transparent et, dessous, je voyais poindre les formes de son corps : elle était nue. Soudain, Thomas que j’avais presque oublié se rapprocha de moi. À présent, je pouvais sentir son torse appuyer contre mon dos et la ceinture de son pantalon monter et descendre, suivant la courbe de mes fesses. Il m’embrassa. Ses lèvres étaient douces sur ma peau parcourue de frissons. Je sentais sa langue cheminer le long de ma nuque et ses dents mordiller le bord de mes oreilles. Karine me regardait sans ciller. Durant quelques secondes encore, je parvins à soutenir son regard avant de fermer les yeux, me laissant complètement aller sous les baisers de son frère. Mes soupirs s’intensifièrent et je laissai échapper un gémissement lorsque les doigts de Thomas ...
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