Dîner coquin entre voisins
Datte: 06/03/2019,
Catégories:
f,
fh,
freresoeur,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
attache,
fbi,
... jusqu’alors inconnu. D’un geste vif, elle se redressa, me prit par la main et marcha vers le lit où elle se laissa tomber, les jambes écartées. Excitée à la vue de son sexe offert devant moi, je me jetai sur elle. Mes mains se posèrent sur ses seins, mais ma langue poursuivit sa descente entre ses cuisses. Survoltée par l’attente qu’elle m’avait fait subir, j’oubliais les préliminaires et enfouis mon visage dans son sexe détrempé. Une odeur forte en émanait, mais elle ne m’arrêta pas. Je connaissais cette odeur et ce goût pour avoir bien souvent léché mes doigts après un plaisir solitaire. J’aimais je goût de sa chatte et Karine laissa échapper un cri lorsque mes dents vinrent en mordiller les grandes lèvres et que ma langue eut, enfin, frôlé son clitoris. Avançant en terrain inconnu, je me laissais guider par les gémissements et les sursauts de la jeune femme. Intérieurement, j’espérais qu’elle prendrait autant de plaisir sous mes caresses que sous celles de Thomas. Aussi je redoublais d’efforts pour la satisfaire. Au bout de quelques minutes, j’obtins enfin l’effet escompté. Mes coups de langue sur son petit bouton la faisaient crier de plaisir et les «Oh oui !… vas-y !… oui !… encore !… plus fort !… oui !… » fusaient dans la chambre. J’arrêtai alors mes caresses pour l’observer un moment. Elle avait fermé les yeux et ses mains avaient saisi les draps, qu’elle mordait pour retenir ses cris. Satisfaite, je présentais alors deux doigts à l’entrée de son vagin. À ma grande ...
... surprise et une fois encore elle m’arrêta. Sur ses directives, j’ouvris le tiroir de la table de nuit et en sortis un long gode lisse et doré. À quatre pattes sur le lit, je le plaçai immédiatement contre son sexe, frottant contre ses lèvres pour l’humidifier. Au moment de la pénétrer, deux mains se posèrent sur mes fesses. Surprise, je me retournai. Thomas se tenait derrière moi et présentait sa queue à l’entrée de mon vagin. Je reculai un peu, à la recherche d’une position plus confortable et me laissai faire. D’un coup de rein qui m’ôta un cri, il enfonça ses 25 cm dans ma chatte. Sa queue emplissait parfaitement mon vagin et mon sourire s’agrandit à la pensée que j’allais tromper mon mari et me faire baiser par un manche aussi gros. Il resta là, sans bouger pendant quelques secondes, le temps que mon sexe s’habitue à ce nouveau diamètre. Je profitais de cette courte pause pour humidifier à nouveau le gode de Karine et l’introduire dans sa chatte. Jugeant que ça n’allait pas assez vite, elle me saisit le poignet et, d’un coup sec, le tira vers elle. Je vis son bassin se soulever sous cette soudaine pression et je compris comment il fallait que je la baise : elle voulait avoir mal ! Ce fut Thomas qui ouvrit les hostilités et entama en moi un va-et-vient d’une violence inouïe. Je le rejoignis bientôt, pénétrant Karine avec toute la force dont j’étais capable. Elle hurlait sous mes coups, mais mes cris couvraient les siens. Je n’étais pas habituée à ce genre de traitement et mon ...