1. L'apprentissage de l'obéissance


    Datte: 06/03/2019, Catégories: ff, jeunes, fépilée, vacances, plage, ascenseur, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ecriv_f,

    ... toutes les affaires et file devant. Tu attends ici, tu comptes lentement jusqu’à 50, et puis tu viens. Isabelle hésita un instant, pendant que des pensées désordonnées se bousculaient dans sa tête, puis elle prit l’ourlet du bas de sa robe, la fit passer par-dessus sa tête d’un mouvement vif et la tendit à Sylvie. Elle était maintenant intégralement nue et l’environnement faisait en sorte qu’elle avait une conscience aigue et douloureuse de ce fait. Sylvie avait rassemblé toutes les affaires dans leurs deux sacs et commençait à partir : — Et pas de fausse précipitation ! lui lança-t-elle depuis le palier du dessus, tu comptes lentement jusqu’à cinquante et tu te diriges toujours aussi lentement vers notre chambre. Les gentilles filles seront peut-être récompensées. Elle fut vite hors de vue et Isabelle entendit la porte d’escalier de l’étage du dessus se refermer sur Sylvie. Son cœur lui remontait dans la gorge, il lui fallait maintenant terminer ce à quoi elle s’était laissée entraîner. Elle commençait à trembler d’excitation. Elle s’accrocha fermement de la main droite à la rampe d’escalier, tout en faisant ce qu’elle devait. Elle comptait doucement : « trente-deux, trente-trois… » Pendant ce temps, sa main gauche avait glissé entre ses cuisses sans même qu’elle ne s’en rende compte. Non pas pour cacher sa chatte épilée, mais, à travers sa fente lisse, pour caresser doucement son clitoris qui l’exigeait. Les quelques secondes de son compte paraissaient sans fin. Elle ...
    ... savait qu’elle n’aurait pas pu se pardonner de tricher, et donc elle passa tout le temps d’attente ordonné par Sylvie avant de se mettre en route, le cœur battant la chamade. C’était complètement fou ! Elle était précisément à la porte qui séparait l’escalier du couloir de leur chambre lorsqu’un bruit la fit tressaillir. Paniquée elle se retourna pour regarder. Une porte et des pas – mais – comme une écoute attentive le lui révéla, au moins cinq étages plus bas. Pas de danger direct pour elle. Personne ne monterait volontairement cinq étages ou davantage à pied ! Elle était maintenant au bout du petit corridor menant au couloir principal de son étage. Sylvie avait eu raison : il n’y avait vraiment personne. Isabelle regarda prudemment avant de passer le dernier angle. Peut-être plus que dix mètres avant d’atteindre la porte de leur chambre. En fait, aucun problème, sauf qu’il y avait seize chambres qui donnaient sur cette aile de couloir. Quinze portes d’où pouvait soudain sortir un étranger à tout instant qui se trouverait alors irrémédiablement confronté à sa nudité intégrale. Ces derniers mètres étaient vraiment les plus longs, qu’elle ait connus jusque-là. Néanmoins elle ressentit un sentiment de triomphe lorsque sa main se posa sur la poignée de leur porte et qu’elle jeta un dernier coup d’œil dans le couloir derrière elle. C’était curieux : d’un côté elle était heureuse d’y être arrivée, et de l’autre elle ressentait d’une manière surprenante presque un certain regret que ...