Le début d'une nouvelle vie
Datte: 17/08/2017,
Catégories:
ff,
fplusag,
jeunes,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
sm,
attache,
confession,
initiatiq,
initff,
fsoumisaf,
... et sa jupe bien trop courte… Après cet examen interminable (elle commençait à se dandiner d’une jambe sur l’autre, ne sachant plus comment se tenir), j’ai posé ma main sur sa nuque dans un geste tendre et d’un ton maternel : — C’est pour ton bien, ma chérie, et au fond de toi, tu le sais… Dis-le-moi ma puce, ça me ferait plaisir…— …— Bon ce n’est pas grave, je vais te laisser reprendre tes esprits… Je te disais donc que tu as besoin d’être dressée… Et qui dit dressage dit punition, en particulier en cas de… bêtise… Si tu refais ce genre de bêtise à l’avenir… Tu iras au coin… Sans qu’elle s’en rende compte j’avais posé derrière la table basse un paillasson épais et rugueux de 60 cm de long. — Ici au coin, à genoux sur ce paillasson pendant une demi-heure… Crois-moi ce ne sera pas confortable. Nue bien sûr. J’avais lâché les trois derniers mots d’un ton froid, comme si ça allait de soi. Ma petite Charlotte a sursauté comme si elle venait de voir le monstre du Loch Ness, à tel point que j’ai distinctement vu ses seins se balader dans son soutien-gorge, pour mon plus grand plaisir bien sûr ! Elle avait manifestement l’air totalement paniquée, et à ce moment précis, son adorable petite chatte n’était sûrement plus du tout humide… — Madame… Heu, Madame je crois que… D’un ton sec : — Je crois que je ne t’ai pas autorisée à prendre la parole petite impertinente ! Si tu n’as rien de plus intéressant à dire que bégayer comme une idiote, je crois que tu peux terminer le ménage.— Oui ...
... Madame, bien sûr… Docile et comme sonnée, déjà soumise, elle est retournée à son aspirateur, la tête basse. Sa démarche n’était pas très assurée et j’ai cru qu’elle allait devoir s’asseoir, mais elle a finalement surmonté son trouble. Sans lui adresser un regard j’ai quitté l’appartement, j’avais quelques formalités à régler pour préparer la future vie de Charlotte… Deux heures plus tard, le moment fatidique était arrivé et elle avait tellement peur d’affronter mon regard qu’elle aurait pu continuer à faire le ménage toute la nuit si je ne m’étais pas approchée d’elle. Incapable de me regarder, elle s’obstinait à nettoyer le miroir de l’entrée, un chiffon à la main, en me tournant le dos. J’ai doucement posé ma main dans son dos et d’une voix tendre : — Charlotte, ma chérie, je crois que ce miroir est plus propre qu’il n’a jamais été. Mais laisse donc ce chiffon s’il te plaît, nous avons des choses plus importantes à discuter. Sans attendre sa réponse, je me suis assise, très droite, l’air sévère, pendant que Charlotte faisait mine de s’asseoir face à moi. — Reste debout !— …— Les mains dans le dos !— … Trente secondes, puis une minute de silence… — Si tu n’as rien à me dire, un chèque de cinq mille euros t’attend dans ma chambre, va enlever ton uniforme, rhabille-toi, je te jure que je ne t’en veux pas, tu es libre ma chérie, mais il n’y aura aucun moyen de revenir sur ta décision…— …— Charlotte, ma chérie, on ne va pas y passer la nuit quand même…— Je veux… Je ne veux pas ...