1. Le début d'une nouvelle vie


    Datte: 17/08/2017, Catégories: ff, fplusag, jeunes, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation sm, attache, confession, initiatiq, initff, fsoumisaf,

    ... ma proposition. Je suis allée tout à l’heure avec des déménageurs chez toi. Franchement il n’y avait rien à garder dans tes meubles, ils sont allés directement à la déchetterie. J’en ai profité pour résilier ton bail et tous tes contrats pour que tu n’aies pas à te préoccuper de toute cette paperasse. Je me suis bien dit que tu serais un peu triste de ne pas récupérer tes vêtements, j’ai jeté un œil dans tes penderies mais honnêtement, toutes ces fringues BCBG et amples pour cacher tes formes, ça ne te va pas du tout. Regarde-toi dans un miroir et tu verras une grosse pouffiasse vulgaire et incapable de s’assumer ! Ouvre les yeux Charlotte, ça te fera du bien je t’assure ! Rebelote, avalanche de pleurs, la demoiselle s’effondre sur le tapis et menace de tremper entièrement mon canapé sous ses larmes… — Avant même le premier jour de ton éducation, je commence déjà à en avoir marre de toi… Ça commence bien… Ça suffit maintenant, tu vas dans ta chambre, prends le contrat, lis-le et rendez-vous demain matin à huit heures. Tout ce que tu possèdes se résume à l’uniforme que tu portes, ton uniforme de rechange qui se trouve sur ton lit, et ta trousse de toilette est dans la salle de bain. Je ne veux plus te voir, tu es arrivée à me filer mal au crâne avec tes pleurnicheries… Au lit sans manger ! Le lendemain matin à huit heures, voulant me faire plaisir Charlotte était en uniforme, en train de mettre la table pour le petit déjeuner, les toasts dans le grille-pain et mon thé en train ...
    ... d’infuser. Pour ma part, j’avais choisi une jupe en soie unie rose pâle, descendant à mi-cuisses, relativement moulante et un haut blanc très fin, presque transparent, ouvert devant et retenu uniquement par des lacets sous la poitrine, noués assez lâches. Je pourrais difficilement sortir ainsi, mais une veste en daim, non boutonnée, donnerait l’impression que mes seins étaient libres en-dessous, sans être pour autant trop explicite. Dernier petit détail : pas de sous-vêtements… Le contrat signé était posé sur la commode. Charlotte avait manifestement enfin pris ses responsabilités, elle l’avait complètement accepté, sans se poser de questions, ni rechigner (il était quand même suffisamment flou et soft pour ne pas l’effrayer). Nous n’en avons jamais reparlé depuis, le contrat dort au fond de mon armoire, signé, comme le sceau de cette relation improbable avec la plus belle esclave que je puisse rêver. Une petite caresse tendre dans le dos, deux bises sur ses grosses joues roses et un grand sourire : — Comme tu es mignonne ma chérie ! Tout ça a l’air très appétissant… Va vite me chercher les confitures ! Et range le deuxième couvert, tu mangeras après, en cuisine.— Bien Madame.— J’ai réalisé ce matin en me réveillant que tu n’avais pas de chemise de nuit. Tu n’as pas gardé ton uniforme pour la nuit tout de même ?— Non Madame, j’ai conservé uniquement ma culotte, il faisait trop chaud.— Mais… Je ne me souviens pas t’avoir donné une culotte de rechange ?— Non Madame, je n’en ai ...
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