La bourgeoise et le puceau. (1)
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
Erotique,
Je m’appelle Hélène, j’ai 56 ans, parisienne BCBG, physique agréable et mariée à François qui a une excellente situation au ministère de la culture. Nous habitons dans le 16e arrondissement de Paris, nos deux enfants ont fini leurs études et sont maintenant casés. Comme je le raconte sur ce site dans mon récit « La bourgeoise et le marabout », j’ai pris goût sur le tard à une vie sexuelle débridée malgré une éducation stricte et austère digne d’un couvent de religieuse. Mon mari apprécie ce changement, en profite largement pour satisfaire ses envies masculines et ses penchants candaulistes. Il y a quelques jours, il m’a annoncé que l’un de ses neveux, le fils de sa plus jeune sœur, allait passer quelques semaines chez nous. Vivant avec ses parents en province dans le Sud-Ouest, étudiant en école de commerce à Bordeaux, il a décroché un stage de marketing dans une grosse société parisienne. Pour éviter aux parents de devoir louer une chambre pour leur fils, François a proposé que nous l’hébergions puisque nous disposons de deux chambres libres depuis le départ de nos propres enfants. C’est aujourd’hui que le neveu, Florian, arrive et François est allé le récupérer à Montparnasse en fin d’après-midi pour qu’il ne se perde pas. Lorsqu’ils arrivent, c’est l’heure du dîner et j’ai mis la table. Au fil du repas, je constate que ce jeune homme de 21 ans est bien éduqué, courtois et d’excellente compagnie. De plus, il est bien fait de sa personne et cela n’est pas fait pour me ...
... déplaire. Au fil de la discussion, nous apprenons qu’il n’a pas de petite copine car il a privilégié ses études et il pratique beaucoup de sport pour se maintenir en forme et évacuer le stress des devoirs et autres examens qui rythment sa vie d’étudiant. Pendant que François suit les infos à la télé, je montre sa chambre à Florian et lui fais faire le tour du propriétaire. Pour qu’il soit tranquille, il est installé dans la chambre la plus éloignée de l’entrée, au fond du couloir juste après la nôtre. Je lui précise que nous n’avons qu’une salle de bain mais que nous devrions réussir à gérer l’affaire pendant son séjour à Paris. Le laissant ranger ses affaires, je rejoins François au salon après m’être préparée pour la nuit, enfilée ma nuisette et passé une robe de chambre. Lorsque nous regagnons notre chambre, notre jeune étudiant semble déjà couché. A peine suis-je en nuisette glissée sous la couette que François commence à m’entreprendre. Il se colle à moi, glisse ses mains sous la nuisette et me caresse partout le corps. Je me laisse aller car je sais qu’il a envie de me saillir. Les jours précédents, il est rentré tard du travail, fatigué et pressé de dormir. Ce soir, il a besoin d’apaiser les tensions accumulées au ministère lors de longues réunions interminables. Il vient sur moi et joue de sa queue sur la fente de ma chatte tout en me dévorant les seins et la bouche. — Comment trouves-tu notre jeune neveu ? me demande-t-il, puis, poursuivant, — Je suis certain qu’il est ...